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TRIBUNES LIBRES
Tribunes des groupes politiques de votre conseil municipal
La Majorité municipale
Tribune - Octobre 2024
Depuis que nous sommes élus, Rabastens est dans une dynamique. Répondant à un administré qui s’étonnait du contrefort du rempart effondré et d’un lavoir en mauvais état, le maire a dressé la liste non exhaustive de tous les travaux que son équipe avait d’ores et déjà diligentés dans Rabastens, si bien qu’il a été unanimement applaudi : les bâtiments du secours populaire à l’intérieur desquels il pleuvait, la vente du camping qui avait périclité et qui aujourd’hui prend sa deuxième étoile, le changement du mobilier urbain et les progrès dans le fleurissement, la restauration de Notre-Dame du Bourg, la réhabilitation de la cour du Musée, les travaux d’assainissement pour mettre Rabastens aux normes européennes, l’amélioration du plan de circulation avec la mise en double sens de la rue de la Croix Blanche, la réouverture de la rue des Abreuvoirs, coupée pendant 16 ans par un mur effon[1]dré, des travaux pour l’église Saint-Pierre des Blancs, le changement des fauteuils, de la climatisation et du sol du cinéma, le parc de Constance pour les enfants,… Nous n’oublions pas les petites églises de notre belle campagne qui ne sont pas laissées à l’abandon. Le maire est aussi en train de sa battre pour sauver l’EHPAD qui s’enfonce depuis 15 ans. Ajoutons le manque criant de logements sociaux qui nous vaudra de lourdes pénalités et auquel nous devons remédier. Pour ne pas lancer les travaux qui étaient pourtant nécessaires, l’argument employé par nos prédécesseurs était celui du surendettement. Alors comment avons[1]nous fait ? Nous avons su optimiser les finances, et nous avons déployé notre énergie pour aller chercher des subventions permettant la réalisation de nos projets. En vérité, quand on est déterminé et qu’on se plonge réellement dans les finances, on s’aperçoit que Rabastens a des marges de manœuvres. Nous avons réalisé tous ces travaux sans augmenter le taux des impôts fonciers de la ville. Seule la Communauté d’agglomération a augmenté ses taux, parce qu’elle gère notamment le scolaire. Et heureusement pour nous qu’elle le gère, tant les travaux qu’elle mène à notre école Las Peyras sont coûteux ; elle paie aussi l’agrandissement de la crèche. Nous allons continuer à nous battre pour sortir Rabastens de l’ornière : nous avons en effet les voiries et les trottoirs à refaire (chantier pleinement lancé à l’exemple de la place Saint-Michel), les escaliers menant aux quais à partir des promenades, le lavoir d’Augé-Gaillard, les remparts qu’il faudra surveiller et consolider ; la réfection de la piscine est en cours, le projet de rénovation de la salle Béteille va suivre... L’un des rares bâtiments flambant neuf que nous avons trouvé en arrivant aux affaires, c’est la médiathèque, et c’est une réalisation de l’intercommunalité, pourtant tant critiquée, à laquelle elle appartient. La belle salle de la Dressière, a également été faite par l’intercom[1]munalité ; l’équipe actuelle a souhaité qu’elle soit désormais considérée comme appartenant à notre ville, pour mieux en gérer les plannings.
Tribune - Juillet 2024
Certains osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît : la majorité, dans sa magnanimité, avait tendu la main à la liste qui avait fait le score le plus faible (« Couleurs rabastinoises »), et dont l’élue était isolée. Or, dans le dernier journal municipal, cette même liste, s’imaginant lancer un pavé dans la mare, a écrit une tribune libre qui injuriait le maire et son équipe, sans avoir le moindre argument à alléguer. Cette agression verbale justifie que soit enlevée à cette élue sa délégation à la jeunesse ; il va de soi, en effet, que la majorité ne peut plus faire confiance aux alliés d’autrefois, auxquels elle n’avait fait aucun tort, et qui, par une soudaine foucade, rompent le lien qui les unissait à la majorité, remettant en question toute future collaboration. Ne pas savoir distinguer entre ce qu’on peut penser et ce qu’on peut écrire publiquement, c’est prouver à tous les Rabastinois qu’on n’a aucune maîtrise des codes républicains. Cette tribune avait cru intelligent de recourir à un apologue (petite histoire illustrant une morale) chinois évoquant une grenouille qui n’a jamais quitté le fond de son puits. Voilà qui convenait à notre Maire qui a vécu 14 déménagements ! À ces amateurs d’apologues à grenouilles, nous proposons, en guise de retour à l’envoyeur, de relire « La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf ». Cette grenouille est bien française ; elle ne gît pas au fond d’un puits ; d’ailleurs, l’histoire ne dit pas si elle barbote dans la mare où le pavé fut jeté. Sympathique au demeurant, elle est incapable d’appréhender sa juste place dans l’univers (ce que les Grecs de l’Antiquité dénommaient « hubris »). Selon la morale de Jean de La Fontaine : « Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages », tels ceux qui croient qu’il suffit d’agonir le maire, sans sommation ni raison, pour « s’imposer ». Faut-il rappeler à ces gens qui aspirent à gouverner notre ville la première règle en matière d’opposition politique ? Dans une petite ville à taille humaine où l’on se croise souvent, on s’oppose sans s’injurier, en respectant ceux dont on ne partage pas les opinions. Qui plus est, on emploie des arguments précis et factuels, évitant les attaques ad hominem (qui s’en prennent à l’homme et non plus à sa politique). Du reste, si notre liste majoritaire classée par la préfecture « diverse-diverse » est aussi solide, c’est parce qu’elle repose sur un esprit de tolérance et de mutuel respect, bien au-delà de l‘esprit partisan ; nous agissons avec d’autant plus d’enthousiasme que notre pluralité s’est fondue, autour du Maire, en une synergie efficace. S’il est toujours possible de critiquer ce que nous faisons, il est impossible, en tous cas, d’accuser la majorité d’immobilisme ou d’irrespect envers qui ce soit. Les transformations que nous avons engagées sont multiples et patentes ; notre détermination à agir reste intacte, et les Rabastinois, qui ont bien compris qui est qui, nous témoignent leur soutien.
Tribune - Avril 2024
Comment s’opposer encore et toujours, alors que les résultats de l’action municipale sont patents ? Telle est la délicate question à laquelle sont confrontés ceux qui tentent encore de jeter des grains de sable dans la machine municipale, d’autres ayant préféré jeter l’éponge. Les motifs de reproche sont si ténus qu’ils peuvent s’assimiler à des grains de sable. Qu’on en juge : l’un de ces opposants parcourt le marché, une antienne en bouche : deux euros ! Et oui, telle est la somme que désormais les Rabastinois devront débourser (avec réductions de toutes sortes pour les enfants, étudiants et chômeurs) lorsqu’ils viendront arpenter notre musée de France. Auparavant, seuls les non Rabastinois payaient. Alors pourquoi ces deux euros ? Ils permettent à tous les Rabastinois de participer, moyennant une somme symbolique, au projet de rénovation lancé par l’équipe actuelle pour ce musée. Rappelons que ce dernier était en passe de perdre son appellation « de France ». Ces deux euros sont une goutte d’eau, alors que l’équipe municipale remet le bateau à flot. Réfléchissons bien : la gratuité est-elle la meilleure façon de donner enfin du prix à notre trésor commun ? Ce trésor est en effet le fruit de notre histoire locale et des acquisitions faites par son conservateur, Guy Ahlsell de Toulza, dont nous saluons la compétence et le dévouement. Nous avons le plus grand respect pour ce musée que nous avons enfin doté d’un plan scientifique et culturel, et auquel nous avons impulsé une nouvelle dynamique. Nous avons notamment sauvegardé pour les futures générations la mémoire de son conservateur, en faisant réaliser un film par 16 heures dans lequel Guy de Toulza explique toutes les oeuvres, oeuvres que nous sommes en train de dûment recensées. Nous avons aussi refait le mur qui nous sépare de l’hôtel de Rolland ; nous aurons bientôt une cour où organiser des événements en extérieur. Bref, nous avons donné à ce musée un nouveau départ, et donc une nouvelle valeur. Là comme ailleurs, nous rompons avec un passé qui a laissé beaucoup de choses stagner, et d’autres péricliter. Or un ancien élu, par un beau jour de marché, s’est permis de reprocher au maire d’évoquer le passé pour mieux mettre en valeur ses réalisations présentes. Ce à quoi nous rétorquons qu’il est fort difficile de prouver que la promesse d’un « nouveau départ » a été tenue si l’on ne précise pas de quelle situation on a hérité. Et puis, les élus de listes anciennes, encore dans l’opposition, ne cessent d’arguer du passé pour tenter de donner des leçons au maire (même si d’autres sont conscients du travail accompli). Dès lors, pourquoi le maire ne rappellerait-il pas lui aussi ce passé pour en faire une salutaire critique ? Tout cela est de bonne guerre. Ce qui est certain, c’est que nous faisons de la politique autrement ; loin d’avoir une appartenance politique revendiquée et des ambitions politiciennes, nous cherchons à améliorer la vie de tous nos concitoyens : un beau projet !
Tribune - Janvier 2024
Après nous avoir prodigué force « leçons », nos opposants tentent la politique de la chaise vide, refusant de siéger au conseil municipal ; mêlés au public, ils ont dû écouter la leçon de démocratie du maire : tels ont été pris ceux qui croyaient prendre ! Ces opposants piétinent leurs devoirs d’élus en ne venant plus en commission, si bien que le maire a dû leur envoyer une lettre avec copie au préfet : « Je vous rappelle que le règlement intérieur du conseil municipal stipule que les commissions examinent les affaires soumises, émettent de
simples avis ou formulent des propositions avant délibération du conseil municipal. La majorité a travaillé ses dossiers et a parfois sur eux un avis différent du vôtre, ce qui n’a rien à
voir avec ce que vous appelez une chambre d’enregistrement ». Dans cette même lettre, le maire rappelait avoir proposé aux opposants une délégation aux finances et la gestion d’un budget participatif, bien sûr en vain : à l’intérêt des Rabastinois, ces opposants préfèrent la négativité, fût-ce de mauvaise foi. Alors que le maire leur a cédé en augmentant la place faite à leurs tribunes libres, ils prétendent d’être pas écoutés et s’unissent
pour écrire un tract qui semble être le début d’une liste. Ils s’y targuent d’avoir fait 40 HLM sur les deux précédents mandats. Mais nous sommes la lanterne rouge du Tarn ! Enfonçons le clou : ils avaient choisi un opérateur qui aurait fait si peu de logements que nous aurions eu une amende ruineuse (loi SRU) ; et ils s’étonnent qu’on ne les ait pas écoutés ! Qu’ils soient plus pertinents et ils seront entendus. Quand une idée est bonne, nous la prenons. Ils nous reprochent nos études selon eux inutiles. Ces bonnes gens semblent ignorer que sans étude sérieuse, on n’obtient pas de subvention, et que sans subvention on ne réalise aucun projet d’envergure. Est-ce parce qu’ils n’ont mené aucun grand projet qu’ils s’imaginent que les études ne servent à rien ? Ils critiquent les bornes rétractables imposées par la sécurisation des lieux publics : ont-ils conscience que nous sommes au niveau urgence attentat ? Ils nous ont légué le camping avec des toilettes turques fissurées, un état général lamentable, et ils osent nous reprocher de le sauver avec des gens dont c’est le métier ? Ils ont laissé les eaux usées se déverser dans le Tarn et là encore ils ont l’audace de critiquer ceux qui règlent les problèmes qu’ils n’ont pas su régler. Rappelons
la fermeture de la rue des Abreuvoirs depuis 16 ans ! Mieux encore, ils s’étonnent que le maire ait préféré rétribuer tous ses colistiers : mais le maire est un homme de partage qui pense que tout travail mérite salaire. Or, les Rabastinois
constatent que nous avons indéniablement travaillé. Ce bric-à-brac de critiques infondées atteste, en vérité, d’une association de bric et de broc. Nous assistons aujourd’hui à un vaudeville ; ceux qui se disputaient hier nous jouent : « Embrassons-nous Folleville ! » Tout le monde s’amuse et personne n’y croit.
Tribune - Octobre 2023
Certains rêvent de nous coller une étiquette politique, notamment ceux qui, avec les lettres du nom du maire (en faisant une anagramme), inventent un héros à lunettes qui ne serait « ni de gauche ni de gauche ». Pourtant, nous, majorité, avons été classés par la Préfecture « divers-divers ». Dès notre prise de fonction, nous avons entrepris la restauration de l’espace social (secours populaire et planning familial), augmenté les subventions pour la solidarité (CCAS, secours populaire, secours catholique, restau du cœur …) ; avec Couffouleux nous avons recruté un nouvel éducateur pour la MJC, financé une entité destinée aux jeunes les plus défavorisés (EVS) ; nous tâchons de rattraper l’effroyable déficit en logements sociaux que nous ont laissé en héritage des mairies pourtant… « de gauche », déficit nous rendant passibles de lourdes amendes. Nous avons organisé un lieu de baignade en centre-ville gratuit et sécurisé. Nous privilégions nos petits artisans et commerçants, c’est pourquoi nous avons préempté un terrain où se seraient installés des magasins de grandes chaînes commerciales. Nous avons sorti d’un statut précaire les professeurs de l’école de musique. Enfin, ce maire que d’aucuns se plaisent à caricaturer, perçoit 800 euros bruts sur les 2.200 auxquels il pourrait prétendre ; il a choisi de partager avec son équipe.
Tribune - Juillet 2023
L’opposition demande qu’un rabais soit fait sur la taxe foncière. Elle demande aussi une cantine en transition. Or ces deux demandes sont elles cohérentes ? Bien sûr la transformation sur place de produits locaux est un beau projet. Nous le défendons sans réserve parce que les enfants sont pour nous une priorité. Mais les oppositions doivent avoir conscience que les coûts seront supérieurs à ceux d’aujourd’hui. Et qui paiera ? Pour que le prix de ces repas soit acceptable pour tous les parents, (notamment pour ceux qui sont loin de payer une taxe foncière), il faudra que l’Agglomération qui détient la compétence scolaire mette la main au portefeuille, quitte à augmenter la taxe foncière ; laquelle a augmenté précédemment du fait que le scolaire coûtait plus cher. Le maire avait voté cette augmentation, parce qu’elle était en faveur des enfants, ce que ses opposants lui avaient tous reproché. Ces derniers demandent aujourd’hui un petit cadeau pour les propriétaires modestes, avec pour effet un beau cadeau aux propriétaires plus aisés. Telle ne sera pas notre politique : nous continuerons de la mener en faveur de tous les Rabastinois et surtout de tous les enfants qui sont notre avenir commun. La taxe d’habitation ayant été supprimée, la taxe foncière est indispensable à l’action municipale comme à celle de l’Agglomération.
Tribune - Avril 2023
Avoir été chassé.e.s de la liste majoritaire ou l’avoir quittée sur un coup de tête, voilà qui en dit long sur le caractère peu amène des élu.e.s indépendant.e.s (un peu d’orthographe dite « inclusive » pour ne surtout pas invisibiliser les femmes). Ces personnes se sont vite avérées incapables d’interagir civilement. Dès lors en rupture de ban, elles siègent en conseil municipal à côté de celles et ceux qui sont fâchés entre eux et qui ont perdu leur tête, mais s’entêtent quand même à filmer le maire. Le premier magistrat de la ville rassure ces réalisateurs à la petite semaine : il est temps de redescendre sur terre ! Quant aux opposantes soupe-au-lait qui se répandent sur les réseaux sociaux, combien de « likes » récoltez-vous ? Ne vous en déplaise, les Rabastinoises et Rabastinois sont conscients du travail réalisé par l’équipe actuelle dans un contexte difficile. Le maire doit batailler, outre contre celles qui l’agressent en conseil municipal, contre des groupes radicaux qui veulent régner sur Rabastens, en taguant ses murs, en voulant éradiquer la 5G ou interdire la vidéoprotection. Or, le maire et son équipe sont un rempart, et rassurent tout le monde : le cap sera tenu, parce qu’ils ont réussi à dépasser les clivages idéologiques et travaillent ensemble pour l’intérêt général des Rabastinoises et des Rabastinois.
Tribune - Décembre 2022
Certains élus appartiennent désormais à une opposition qui a perdu sa tête ; ils ne savent plus où ils habitent : mon logo est-il vert ? Est-il bleu ? À quel engagement, moi qui suis « engagé pour Rabastens » dois-je me vouer, et surtout avec qui ? Parmi ces élus errant, désemparés, il en est un qui se prend pour un inspecteur des travaux finis, visitant les chantiers, sans demander la permission à la mairie. Affirmant contre toute raison que le toit de l’espace social place Saint-Michel, en cours de restauration, devait être en tuiles, cet élu a imaginé pouvoir faire arrêter le chantier : on aurait alors recommencé à faire la charité sur le trottoir, comme auparavant, lorsque le dojo n’avait pas encore été donné au secours populaire. Une autre élue de cette même liste vitupère contre la solution trouvée par la municipalité pour rouvrir enfin la rue des Abreuvoirs et vote contre. Ces élus avaient appartenu à une équipe municipale qui avait laissé les choses en l’état. Ajoutons que la majorité municipale actuelle est toujours prête à accueillir les bonnes volontés de l’opposition, celles qui cherchent vraiment l’amélioration de notre commune : plutôt que d’essayer de nuire à l’équipe en place, il est temps d’œuvrer pour le bien commun !
Tribune - Septembre 2022
Depuis que la tête de liste d’Engagés pour Rabastens a jeté l’éponge (ce qui a coïncidé avec le lancement de nos chantiers) les conseils municipaux sont apaisés, l’opposition s’est « normalisée ». Il était temps que les énergies convergent, car il y a beaucoup à faire. Toutefois, une nouvelle élue d’Engagés pour Rabastens, faisant cavalier seul, s’est fendue, dès son arrivée, d’une lettre à la Préfecture pour demander des comptes au maire sur des procédures qui ne lui auraient pas permis d’être là plus tôt. Cette nouvelle élue aurait pu se rappeler qu’elle tentait de mettre en cause un maire, certes nouveau dans ses fonctions, mais qui, dans une vie antérieure, a été inspecteur général de l’administration, ce qui suppose une culture administrative et une habitude de travailler avec les préfets et les préfectures. Ce type de lettres (il y en a eu d’autres auparavant) a toujours l’effet inverse à celui recherché : il accrédite celui qu’il vise à discréditer, et vice versa pour l’envoyeuse. Quoi qu’il en soit, et sans doute à cette exception près, le maire et tous les élus vont désormais travailler de conserve. Les élus de l’opposition ont d’ailleurs été conviés à participer à la réfection des différentes commissions. Tout est en place pour de fructueuses interactions. Rappelons toutefois à certains opposants pressés d’imposer leurs vues que c’est l’équipe majoritaire qui garde la main.
Tribune - Juillet 2022
Quatre élus d’Engagés pour Rabastens et deux élues indépendantes ont décidé de suivre une formation destinée aux élus d’opposition et portant sur les budgets. Ils se sont inscrits au niveau 2. Mais peut-être un niveau grand débutant eût-il été plus adapté. Comment pouvaient-ils ignorer qu’on ne peut dépenser l’argent d’une commune sans avoir obtenu au préalable l’autorisation de son maire ? Le Guide (relatif à la formation des élus) du Ministère de l’Intérieur stipule : « Même s’il s’agit d’une dépense obligatoire, l’élu ne peut se prévaloir de son droit à la formation pour engager sous sa propre signature en acceptant un devis en lieu et place de la commune. Il doit donc obtenir l’autorisation du maire ». Cette autorisation n’a été ni obtenue, ni même demandée. Cette formation coûte 3.360 euros. Et pourtant, seuls Alain Brest et Patrick Guénot (qui n’ont bien sûr pas fait partie de cette équipée) ont posé des questions pertinentes lors des réunions de la commission des finances. Enfin, cerise sur le gâteau : deux de ces élus prétendant être formés avec l’argent public sont démissionnaires du Conseil Municipal.
Tribune - Mai 2022
Depuis presque deux ans, tout ce que nous avons entrepris a été vilipendé, parfois avec une véhémence si excessive qu’elle en était insignifiante. Faut-il rappeler ce que dit Boileau : « La critique est aisée, l’art est plus difficile ». À ceux qui prétendent aujourd’hui que nous perdrions du temps, nous répondons que visiblement, ils ne savent pas comment on gère des projets municipaux. Ils nous reprochent de passer par des études de faisabilité et de coût. Mais comment faire autrement ? Ces études sont nécessaires pour obtenir des subventions, et ensuite lancer des appels d’offre, et enfin solliciter des entreprises susceptibles de répondre à nos appels d’offre. Ainsi, pour la réfection du bâtiment municipal dédié au secours populaire, nous avons eu du mal à trouver un architecte, et aujourd’hui, aucune entreprise n’a encore répondu pour le gros oeuvre ! Les « Yaka-Fokon » ont beau se déchaîner, feraient-ils mieux à notre place ? Or notre ville, comme chacun a pu le constater, se retrouve dans un état tel qu’il devrait conduire nos opposants à assumer enfin leurs responsabilités, en se dévouant à nos côtés afin que notre ville ait de meilleures infrastructures. Souhaitons que la guerre aux portes de l’Europe aide chacune et chacun à recouvrer le sens commun : fi des guéguerres rabastinoises ! Avançons désormais de conserve pour un mieux-vivre à Rabastens !
Tribune - Décembre 2021
Seuls, ceux qui n’ont pas eu de grand projet en leur temps, ou se seraient contentés de gérer le courant, peuvent nous reprocher de lancer des études de faisabilité : celles-ci sont indispensables afin de prévoir un budget, d’aller chercher des subventions, et in fine de décider en toute sécurité ce qu’il faut faire. Nous avons des projets pour notre ville, mais nous ne perdons pas de vue que notre budget est contraint. Ces indispensables études nous ont coûté 80 000 euros ; elles portent sur le plan de circulation qu’il faut repenser avec méthode, le projet de passerelle avec Couffouleux, la nécessaire modernisation des installations de rugby, la rénovation de la piscine et un diagnostic pour conserver notre étiquette « musée de France ». L’état dans lequel nous avons trouvé le musée est révélateur : outre l’absence d’un plan scientifique pourtant obligatoire, ce musée est sans chauffage, avec une électricité et une toiture défaillantes. Autre toiture à refaire : celle de Notre-Dame des Blancs. Et puis, nous venons d’apprendre que l’inscription de Notre-Dame du Bourg à l’UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle n’avait pas été correctement réalisée en son temps : à nous de rédiger le dossier exigé par l’UNESCO ! Nous exhumons aussi le dossier de la maison effondrée rue des Abreuvoirs depuis…. 15 ans ! Nos prédécesseurs nous ont laissé du pain sur la planche.
Tribune - Octobre 2021
La plupart de nos infrastructures sont à refaire ou à restaurer. Nous aurions pu recourir à une vieille rengaine et ainsi diminuer considérablement notre charge de travail. Aux bénévoles du secours populaire logés dans des bâtiments délabrés, nous aurions dit : « nous sommes endettés ». Aux vendeurs du marché qui font face depuis trop d’années à une électricité défaillante, aux rugbymen mécontents des conditions dans lesquelles ils accueillent les autres clubs, à ceux qui veulent sauver l’ancien presbytère pour y loger des pèlerins, aux parents d’élèves attendant la réfection de l’école Las Peyras ou une cantine en production, à ceux dont les enfants n’apprennent pas à nager dans une piscine municipale à réparer, à ceux qui s’étonnent que notre « musée de France » reste en l’état, à ceux qui s’énervent contre le plan de circulation, à ceux qui ont des nids de poule dans leurs rues… à tous, nous aurions pu répondre « nous sommes endettés ». Mais nous nous sommes donnés pour mission de restaurer Rabastens, sans augmenter les impôts communaux ni alourdir notre dette. Cette tâche est difficile et prendra du temps, nous tiendrons nos engagements : nous avons été élus pour ce nouveau départ que vous êtes majoritaires à soutenir.
Tribune - Juillet 2021
À Rabastens, les conseils municipaux durent jusqu’à cinq heures : les oppositions ont en effet perdu tout sens de la mesure, s’adressant au maire et à la majorité avec une outrecuidance qui confine à l’incivilité. Dans cette course à l’échalote, certaines caracolent en tête. L’une prétend que l’équipe majoritaire ne gère pas la commune comme une entreprise et ne prend pas en compte les risques, l’autre au contraire affirme que le maire gère sa mairie comme une startup. Or, en s’unissant pour faire courrier commun, en complotant ensemble pour mieux harceler le maire, chacune de ces oppositions brouille son propre message et perd de nombreux sympathisants, désorientés par cette agressivité malsaine. Et puis, les perles des unes étant portées en sautoir par les autres, tous ces opposants éperdus finissent déshonorés par cette foire à l’empoigne que sont devenus les conseils municipaux, une foire à l’empoigne que les Rabastinois réprouvent en masse. Ces oppositions, dont la négativité est vaine, devraient relire « Le coche et la mouche » de Jean de La Fontaine. Pendant que la majorité prodigue ses efforts pour tirer le coche « au haut » de la montée, la mouche s’agite et vrombit : ces oppositions retrouveraient leur dignité si elles aidaient, au moins parfois, à la manœuvre.
Tribune - Mars 2021
Deux oppositions ne cherchent qu'a démolir, Rien ne leur convient jamais et quoi que nous fassions, ils entravent, ils critiquent, ils méprisent. Dans le déni de leur défaite, ces perdants parlent au maire de haut et ils lui font constamment la leçon, quitte à se prendre les pieds dans le tapis, par exemple sur la question du surendettement. Notre maire a réalisé une opération prudente, mais clairement profitable à notre ville. Ces deux oppositions lui ont pourtant reproché de ne pas attaquer, bille en tête, la banque Dexia. Mme Campredon a dégainé Saint-Leu la Forêt, un modèle à suivre : hélas ! Elle en était restée à la victoire de cette ville en première instance, ignorant les procès perdus en appel et en cassation, et une situation financière aggravée. Venu à sa rescousse, M. Brest a dit avoir été « à deux doigts de gagner ›› contre Dexia, oubliant la facture de l'avocat (environ 90 0000 €) que M. Verdier a refusé de payer, prenant ä son tour un avocat pour un procès aujourd'hui en appel : pour finir nous devrons payer 1 Quand ils ne répandent pas leur mauvaise foi et leur rancœur sur les réseaux sociaux, certains vont jusqu'à appeler la Préfecture ou l’agglomération, dans l'obsession de nous nuire... A l'exception de M. Guénot, ces deux oppositions qui ne font que de l'obstruction ont perdu tout sens de l'intérêt général.
Tribune - Décembre 2020
Pendant la campagne municipale, notre inexpérience politique nous a fait passer pour des « bleus ». Pourtant, depuis, nous avons constaté que les donneurs de leçons n’étaient pas forcément les plus qualifiés. Passons sur le dossier introuvable de Notre-Dame-du-Bourg qui a entraîné une faute déontologique de l’opposition (nom d’un agent territorial ayant été cité dans La Dépêche). En remettant en ordre de marche la mairie, nous avons aussi découvert des manquements aux règles des marchés publics : la restauration du toit de l’église de Vertus (48 970 €) s’est faite sans mise en concurrence, ce qui a engendré un refus de paiement de la part du trésor public. Le projet du city stade (64 204 €) a avorté pour les mêmes raisons. Depuis 2016, les subventions accordées pour l’achat d’œuvres au musée de Rabastens n’ont jamais été réclamées (somme de 20 710 € en souffrance). Nous avons aussi constaté une dépense de plus de 20 000 € sur 3 ans pour la mise en place deux sites internet pour la mairie et pour Notre-Dame-du-Bourg. De l’avis de tous les spécialistes, pareille somme était très au-dessus des prix pratiqués. Or ces sites étaient faits de telle sorte qu’ils ne pouvaient être mis à jour par les agents de la mairie. L’action municipale ne peut être menée sans commencer par une remise en ordre. Celle-ci nous permettra d’aller plus loin.
Tribune - Septembre 2020
Après notre victoire, certains se sont montrés mauvais perdants, alors que deux listes, celles d’Alain Brest et de Sandrine Madesclair, ont décidé d’être constructifs, ce qui nous a permis, en retour, de montrer notre volonté d’ouverture. Comme nous nous y étions engagés, toute notre équipe est dans une dynamique : les indemnités réparties entre tous les adjoints et délégués témoignent de la volonté du maire de « jouer collectif » en étant partageur (894 € brut pour le maire sur les 2139 € possibles). Mauvaise surprise : la communauté d’agglomération en charge des écoles nous réclame environ 300.000 € versés sur le budget de Rabastens par les assureurs pour réparer les malfaçons de Las Peyras : est-ce cette somme qui était destinée (promesse de l’équipe Engagés pour Rabastens) à mettre à double sens de circulation l’avenue de la Croix- Blanche qui conduit à cette école ? En outre, le dossier sur Notre-Dame du Bourg nous a été livré incomplet, ce qui ne nous empêchera pas d’en poursuivre la restauration. Quoi qu’il en soit, le renouveau est lancé : le cahier de doléances sur le marché du samedi remporte un franc succès. Le samedi est aussi le jour des mariages, désormais « personnalisés » par un discours réalisé après un entretien avec les futurs époux. Le message ainsi envoyé est clair : nous sommes à votre service !
Engagés pour Rabastens
Tribune - Octobre 2024
Les vieilles briques de Rabastens n’en peuvent plus. Le drame de l’effondrement de l’immeuble abritant la Caisse d’Epargne précédé de celui d’un contrefort des remparts nous a fait prendre conscience de la fragilité de notre patrimoine. De plus, les contraintes liées à la circulation automobile ne pouvaient qu’aggraver la situation tant sociale, qu’économique, architecturale et environnementale. Ceci ressemble à une alerte qui nous interpelle sur la nécessité d’avoir une attention permanente sur l’état de conservation de nos vieux quartiers. A l’instar de la réaction d’une élue de notre groupe, soutenue par le premier adjoint de la majorité lors du dernier conseil municipal, concernant un projet global pour protéger notre cœur historique, ne serait-ce pas le bon moment d’y réfléchir ? Nous proposons dès à présent de mandater un groupe de travail réunissant élus et citoyens. A quelque chose, malheur est bon. Nous avons tous constaté un esprit de convivialité surtout sur le pont qui est devenu un espace apaisé et lieu de rencontre. Les travaux sur le pont sont phasés par le département et sont prévus pour durer au moins six mois. Nous espérons vivement qu’à sa réouverture nous aurons un retour à la normale pour les commerçants et habitants impactés par l’arrêt du chantier de démolition de la Caisse d’Epargne. Malgré ces événements, nous souhaitons à toutes les rabastinoises et à tous les rabastinois une bonne rentrée 2024. Ann Barnes, Paul Bozzo, Stéphane Ruszczynski
Tribune - Juillet 2024
Comme le chantait Barbara, “Tout le temps perdu ne se rattrape plus”. L’état de la piscine n’était pas inconnu de la majorité lors de son élection puisque l’élue en charge de ce dossier l’était déjà lors de la mandature précédente. Après quatre ans de réflexion municipale, le projet de rénovation n’a toujours pas franchi le cap des appels d’offre. Au vue des délais administratifs et du temps nécessaire à la réalisation des travaux, il est fort probable et regrettable que la piscine ne soit opérationnelle à l’été 2025, au mieux. Les Rabastinois se réjouissent de l’ouverture de la plage mais quid du problème de stationnement ? Le temps s’écoule et les projets stagnent. Où en sommes nous du bâtiment aux services techniques à Foncoussieres ? Lors du conseil municipal du 22 septembre 2022, l’autorisation a été donnée au maire de signer la convention entre la commune de Rabastens et la société AMARENCO FRANCE pour la construction d’un hangar couvert de panneaux photovoltaïques. Qu’attend la mairie pour lancer les travaux ? Depuis plusieurs années, la législation interdit l’utilisation des pesticides dans l’espace public. De nombreuses communes en France ont choisi la végétalisation des cimetières. Chez nous, ça fait 3 ans que nous attendons sa mise en oeuvre, en ce moment c’est la friche. Pour tous ces projets en attente, soyez confiants, 2025, année préélectorale, sera faste en réalisations ! Lors du dernier conseil municipal, nous avons appris que la décision concernant le montant total de la subvention accordée au comité des fêtes a été ajournée. Il est dommage que quelques lignes dans le dernier bulletin municipal ayant fortement déplu à M. le Maire risquent de priver l’ensemble des Rabastinois des manifestions habituelles. En revanche, le camping de Rabastens (société privée) a lui bénéficié d’une aide de 10000€ pour le financement de sa clôture.
Nous vous souhaitons un bel été et vous retrouverons à la rentrée, fidèles au poste. Ann Barnes, Paul Bozzo, Stéphane Ruszczynski
Tribune - Avril 2024
Vous avez oublié le budget 2023 ? Celui de 2024 en est quasiment la copie conforme. Sur la vingtaine d’opérations d’investissements planifiées en 2023, la moitié va être reprogrammée en 2024, dont les travaux de la
piscine. Nous nous inquiétons de sa réouverture. Aux dires de M. le Maire, si le montant de la rénovation est trop élevé, la fermeture définitive sera actée et l’inflation aura bon dos pour justifier cet échec. Parlons réalisations en 2023 : une trentaine de bornes
rétractables de type Barcelone a été installée pour un coût de presque 100 000€. Depuis leur mise en place, nous avons pu constater des problèmes récurrents de fonctionnement. De plus, la mairie les a vendues comme dispositif anti-bélier correspondant aux critères urgence
attentat. Les spécifications du fabricant contredisent cette affirmation (voir page 38 du catalogue sur le site internet procity.eu). Le tout n’est pas de faire, encore faut-il bien faire ! En 2020 dans son projet électoral, M. le Maire s’engageait à “remplacer dans l’immédiat les platanes abattus par d’autres essences”. A la veille d’un prochain été probablement caniculaire, comme l’ensemble des Rabastinois, nous sommes dépités depuis 4 ans de voir la zone désertique que représente une partie des
Lices. Il semblerait qu’il faille un deuxième mandat pour voir les beaux projets structurants de M. le Maire se réaliser. Dommage qu’il n’ait pas commencé par le second mandat. Nous constatons à nouveau que la majorité possède un certain talent pour vendre aux Rabastinois des projets,
mais beaucoup moins pour les réaliser.
Nous remercions les nombreux Rabastinois pour leurs marques de sympathie et de soutien suite au décès de Montsé Reilles. Elle laisse dans notre groupe un grand vide difficile à combler. Lors du conseil municipal du 21 mars, Pierre Funk a été installé en tant que nouveau conseiller. A partir du 25 mars, Ann Barnes siégera au conseil communautaire de l’agglo Gaillac-Graulhet. Ann Barnes, Paul Bozzo, Stéphane Ruszczynski
Tribune - Janvier 2024
La fermeture de l’église St-Pierre des Blancs nous amène à nous interroger sur la gestion de notre patrimoine communal. Le 17 juin 2021 la tempête a endommagé la toiture de cette
église. Déjà deux ans et demi et l’église n’est toujours pas entièrement hors d’eau. En 2022, des travaux de rénovation de la toiture étaient inscrits au budget pour un montant d’environ 200.000€. Aujourd’hui le coût avoisine les
400.000€. Ne pas parer à l’urgence ne peut que générer des coûts plus élevés. Une bonne nouvelle, les travaux extérieurs sur Notre Dame du Bourg initiés par la municipalité précédente se poursuivent. N’oublions pas que ces travaux ont pour finalité la restauration des peintures murales intérieures, restauration
que le maire ne garantit plus, faute de budget.
Les escaliers permettant de descendre des quais sur la promenade devaient être rénovés pour moitié en 2022 et moitié
en 2023. Vous pouvez constater vous-mêmes l’avancement des travaux. En novembre 2020, des platanes de la promenade des Lices
ont dû être abattus. La municipalité nous promettait une replantation rapide. On attend toujours. La sécheresse de 2022 a mis à mal de nombreux jeunes arbres. Certes, un arrêté préfectoral interdisait tout arrosage avec l’eau de la ville et par pompage dans la nappe phréatique. Mais avec l’eau du lac des Auzerals, la commune dispose d’une réserve de 200.000m³ pas concernée par cet arrêté.
La commune a obtenu fin 2021 le classement SPR (Site Patrimonial Remarquable). Un bel outil pour valoriser notre ville et la rendre attractive. Encore faudrait-il le mettre en
place. Le patrimoine ne semble pas être une priorité pour la municipalité. Pourtant elle arrive à trouver des fonds pour
d’autres travaux, par exemple la récente réfection du parking devant le centre de secours et les ateliers municipaux pour un
montant de 75.000€ qui, d’ailleurs, n’a fait l’objet d’aucune demande de subvention ni d’inscription au budget 2023. Nous vous souhaitons une excellent année 2024.
Tribune - Octobre 2023
Considérant que la taille de la police utilisée pour les tribunes libres ne permet pas une lisibilité des contenus, considérant que nos multiples demandes d’utiliser la même police pour l’ensemble du bulletin n’ont jamais été prises en compte, considérant que ces refus nous apparaissent comme un déni de démocratie, nous avons décidé collectivement de ne rien publier.
Tribune - Juillet 2023
À quoi bon publier un bulletin municipal qui n’arrive toujours pas dans toutes les boîtes aux lettres ?! Monsieur Le Maire se déclare contraint de réaliser des logements sociaux sur notre commune, ou de s’acquitter d’une taxe compensatrice. Ce thème structurant ne peut être laissé à la seule appréciation de Nicolas Géraud. Nous demandons l’organisation d’un débat public sur ce sujet conformément à l’engagement de l’équipe majoritaire de développer la démocratie participative. L’été 2022, un arrêté préfectoral interdisait l’arrosage des espaces publics avec l’eau de la ville. De nombreux jeunes arbres et plantations sont morts faute d’arrosage. Monsieur Le Maire envisage t-il pour cet été de puiser si nécessaire l’eau dans les 200 000 m³ stockés dans le lac des Auzerals ? N’en déplaise à la majorité, c’est grâce à l’assiduité des élus de l’opposition que le dernier conseil municipal a pu se tenir, tant l’absence d’élus de la majorité était importante. Nous vous souhaitons un bel été et nous vous retrouvons à la rentrée. Retrouvez l’intégralité des vidéos des conseils municipaux en tapant : “vidéo youtube conseil municipal Rabastens” Notre adresse mail : engagespourrabastens@gmail.com. À la demande de la mairie, cette tribune lui a été adressée le 14 juin.
Tribune - Avril 2023
D’abord une note positive, nous nous réjouissons de l’extinction de l’éclairage public qui s’inscrit dans une démarche écologique et économique. Bonne surprise, nous découvrons sur les réseaux sociaux mais après le début des travaux, le projet de l’aire de jeux fortement réclamé mais jamais abordé en commission! Nous constatons également que la tribune de la majorité utilise les 1350 caractères à dénigrer l’opposition, c’est plus facile que de parler des projets annoncés dans le journal de juillet 2022 mais pas réalisés : « réouverture de la rue des abreuvoirs, bornes rétractables et escaliers des Lices, toiture de Saint Pierre des Blancs, aire de jeux au lac des Auzerals, hangar des ateliers de Foncoussières. » Certains de ces projets de 2021 ont été reportés en 2022 pour raison de Covid et n’ont pas encore vu le jour tout comme certains prévus en 2022. En revanche des actions jamais discutées en commissions fleurissent: abattage d’arbres place Saint Michel, réfection du toit du dojo, changement des tatamis… Ce saupoudrage traduirait-il une difficulté à mener à bien un projet cohérent dans une vision à long terme pour la commune ? Espérons que ce journal arrivera enfin dans toutes les boites aux lettres. Nous restons à votre écoute. Notre adresse mail :
engagespourrabastens@gmail.com. P Bozzo, M Reilles, A Barnes, S Ruszczynski
Tribune - Décembre 2022
Soucieux d’un monde en pleine crise économique, climatique, géopolitique, les Rabastinois aimeraient voir leurs intérêts défendus par leur élu. Or son seul souci est de sauver la face, il tient encore un discours de campagne électorale. Ses projets conçus en totale opacité ne prennent pas en compte la priorité des besoins de la commune. Le manque d’anticipation se retrouve même dans l’organisation des réunions, un planning est distribué mais non respecté sans informer de l’annulation de certaines. Il est indifférent sur des sujets de la vie quotidienne (la collecte des déchets par exemple…) Et que deviennent les projets inscrits dans le programme tel la transformation de la cantine scolaire ? Evidemment c’est de la faute de ses prédécesseurs, de la communauté d’agglomération et bien sûr de l’opposition s’il ne peut agir ! En période d’inflation toute lenteur, reports, hésitations coûtent cher à notre commune. Par exemple l’élargissement de la rue « Croix Blanche »conçu et budgétisé lors du mandat précédent aurait pu être réalisé sitôt élu. L’attente de deux ans pour s’en attribuer la paternité a coûté 50 000€ de plus. Dans la tempête le Capitaine n’a aucune vision, il navigue à vue. Malgré tout, nous veillons sur vos intérêts et nous vous souhaitons de belles fêtes. Prenez soin de vous. P Bozzo-M Reilles-A Barnes-S Ruszczynski.
Tribune - Septembre 2022
La page Facebook du groupe « Les Engagés pour Rabastens » fait peau neuve. Dans un nouveau logo, toujours en rondeur notre Dame du Bourg se profile à la place des 3 raves avec une couleur verte. Il rappelle nos objectifs de campagne : la valorisation, la préservation de notre patrimoine architectural, environnemental et la défense des enjeux de la transition écologique. Sur cette page vous pourrez suivre l’intégralité des vidéos filmées des conseils municipaux. Des repères vous permettront d’identifier chaque sujet abordé et les actualités municipales que l’on voudra bien nous dévoiler. Stéphane Ruszczynski et Marie-Pierre Robert nous ont rejoints au conseil municipal. Nous sommes 5 pour défendre vos intérêts. Pour cette même raison, nous avons signé avec les différentes oppositions « Les Rabastinois au cœur », « les élues indépendantes », un courrier adressé à Mr Le Maire pour faire des propositions sur les commissions de travail. Nous avons demandé de rajouter une commission travaux pour participer aux réflexions. Découvrir les projets par la presse ou par un autre canal, nous mettre devant le fait accompli nous empêche de vous informer et de vous défendre, ce qui est anti démocratique. Nous vous souhaitons une bonne rentrée. Pour tout questionnement vous pouvez nous écrire à cette adresse : engagespourrabastens@gmail.com.
Tribune - Juillet 2022
Mme Campredon et M Legrand ont démissionné du conseil municipal, ils ont oeuvré avec une grande compétence et un fort engagement. Nous respectons leur décision. La vie communale continue et nous restons toujours engagés pour Rabastens avec le même esprit constructif. Depuis quelques semaines, nous constatons des frémissements d’actions juxtaposées mais sans pouvoir percevoir de vision globale d’avenir pour notre ville. Un architecte qui ne détecte pas de l’amiante dans l’étude de l’espace social, un géomètre qui se trompe dans le bornage du terrain pour l’antenne 5G et la cession de chemins ruraux, des malfaçons de voirie à faire reprendre, des dossiers qui se perdent … y aurait-il un chat noir à la mairie ? Malgré l’image négative de l’opposition que renvoie la majorité municipale, elle est présente à tous les conseils municipaux, à toutes les commissions et réunions de travail (sans rémunération) et est toujours force de propositions. Où en sommes-nous de l’engagement d’une « collaboration sereine et fructueuse avec les élus de l’opposition » tel que promis dans le programme de la majorité : documents non distribués, réunions annulées sans prévenir, décisions actées sans débat possible lors de certaines commissions Nous vous souhaitons un bel été et vous donnons rendez-vous à la rentrée.
Contact : engagéspourrabastens@gmail.com
Tribune - Mai 2022
Chères Rabastinoises, chers Rabastinois, pendant les deux années qui n’ont épargné personne, nous avons été les spectateurs de la lente installation de la majorité municipale. Alors que pour l’année 2022 nous allons devoir faire face aux pénuries et l’inflation nous ne pourrons que regretter les 22 mois de retard qui se sont écoulés. Pendant ce temps, nous avons déploré les querelles stériles, et le recours systématique aux cabinets conseils qui nous facturent leur temps. Ce constat est attesté par les comptes 2021 qui nous permettent de calculer le taux de réalisation des projets : 23% des investissements prévus. Le covid ne peut justifier ce résultat. Il suffit pour cela de sortir de notre commune pour voir par exemple des chantiers d’équipements publics et de voirie réalisés. Aujourd’hui, l’heure internationale est grave, et l’heure nationale pourrait l’être. Eu égard aux moments historiques qui nous secouent, nous proposons d’élever les débats réduits à de vaines agitations, et appelons solennellement à la paix et à l’apaisement des esprits. Le temps des divisions et des fausses accusations est révolu. Nous proposons, dans la mesure de nos moyens et de nos intentions sincères, d’accompagner et d’apporter des mesures de soutien Vous pouvez retrouver toutes nos coordonnées et informations sur notre site www.pourrabastens.fr
Tribune - Décembre 2021
Chères rabastinoises, chers rabastinois, si vous nous lisez, c’est que vous souhaitez vous informer sur la vie du conseil municipal. Dans notre précédente tribune, nous avons publiquement rappelé au Maire que nous pouvions apporter notre contribution constructive à la majorité (www.pourrabastens.fr ; Tribunes). Depuis, toujours pas de réponse. Pareillement, nous n’avons jamais eu de réponse à nos maintes demandes d’information au sujet de contrats d’études lancées par le Maire avec un budget de 160000€. Le Maire ne devrait-il pas être à l’aise avec la transparence sur la dépense publique ? Lorsque nous demandons au Maire s’il a un problème avec la transparence, celui-ci va jusqu’à nous avouer en conseil municipal filmé : « Peut-être, ...peut-être ». Qu’y a-t-il à cacher ? L’opacité est dangereuse parce qu’elle pourrait soulever trop d’interrogations : manque de compétences ? autoritarisme ? Elle inquiète surtout quant aux conséquences dont les contribuables auront à s’acquitter pour faire face aux choix faits par un groupe majoritaire, sans concertation. La simple lecture de cette page avec six tribunes, pour une commune de 6000 habitants, ne devrait-elle pas inciter le Maire à plus d’humilité, plus de transparence et plus de partage ? Chères rabastinoises, chers rabastinois, nous vous souhaitons d’excellentes fêtes de fin d’année.
Tribune - Octobre 2021
Notre groupe tient tout d’abord vous souhaiter une très bonne rentrée 2021 malgré le contexte du covid que nous continuons à subir depuis un an et demi. Notre tribune va revenir sur un problème récurrent : la mauvaise distribution du journal municipal que de nombreux foyers n’ont jamais reçu. Alors que nous avons été isolés depuis mars 2020, ceci accentue le sentiment d’éloignement. des tribunes de la majorité et des phrases chocs de Mme Madesclair comme « le Rabastinois, aimez-le ou quittez-le ». Par ailleurs, lorsque vous nous rencontrez ou écrivez, une question revient systématiquement : « mais que fait la Mairie depuis un an ? ». Ce à quoi, nous vous répondons : « Les nouveaux pots de fleurs en ville sont beaux, le camping doit être vendu à la rentrée, la taxe foncière doit augmenter dès cette année, et la majorité continue à se diviser ». Diriger, c’est choisir, et là où les chantiers fleurissent sur des communes voisines, à Rabastens, il est urgent d’attendre, et de lancer des études (160000€ prévus en 2021). Nous réitérons ici notre main tendue au Maire : « nous avons des compétences et nous sommes prêts à vous aider pour le bien de notre commune ». Nous restons à votre écoute, toujours fidèles à notre engagement de campagne pour une commune « solidaire et apaisée ».
Tribune - Juillet 2021
Dans la dernière tribune, nous faisions part de notre investissement dans vie municipale et communautaire pour défendre vos intérêts, respectivement au mandat que vous nous avez confié, et à la confiance que vous continuez, chaque jour plus nombreux, à nous exprimer. Depuis, nous avons porté votre voix pour la défense du camping municipal, contre la hausse des impôts fonciers. Et ce en vain, face à l’opposition de principe de la majorité qui, de plus, nous accuse de nous opposer à tout alors que sur les 10 délibérations du dernier conseil, nous avons voté contre 2 seulement. Ceux d’entre vous qui ont suivi les conseils municipaux (à voir sur notre site www.pourrabastens.fr), nous ont fait part de leur constat : « nous sommes dans une situation ubuesque où les compétences sont dans les oppositions, et les blocages dans la majorité ». Cette majorité, dont le maire et le premier adjoint n’ont jamais eu d’expérience sur un mandat antérieur, s’inscrit dans l’opposition systématique à tout argument ou intention positive et constructive. Le manque de compétences et d’humilité conduit cette gouvernance fragile à prendre des décisions qui peuvent mener à des conséquences graves. Nous continuons à œuvrer sereinement pour la prise de décisions pour l’intérêt général, mais c’est aussi à vous, Citoyens, de demeurer vigilants et solidaires.
Tribune - Mars 2021
Depuis huit mois nous les cinq élus de notre groupe voulions faire, avec vous, le point sur l'exercice non indemnisé du mandat que vous nous avez confié. Nous sommes le seul groupe ä n'avoir manqué aucune commission, atelier et conseil, pour assurer votre représentativité à la Mairie et à la Communauté d'Agglomération Gaillac-Graulhet. Nous avons également suivi l'ensemble des formations proposées par l'Association des Maires de France pour nous permettre de travailler de manière qualifiée et constructive. En parallèle nous veillons à vous apporter une information vraie sur notre page Facebook «Engagés pour Rabastens››, que vous êtes de plus en plus nombreux à suivre, et nous ne manquons pas une occasion pour échanger en direct avec vous. Nous avons pour seul souci la défense de vos intérêts, et si les tumultes de la majorité nous désolent, ceux-ci ne nous concernent pas, ainsi que nous l'avons indiqué lors du conseil du 23 janvier. La représentativité élective ne se limite pas à faire acte de présence, elle exige surtout de travailler. Aussi aimerions-nous être plus souvent associés par la majorité. Enfin la démocratie participative suppose avant tout une démocratie représentative qui s'exprime. Elle n'est pas une « tautologie ›› comme nous l'a étonnamment affirmé le premier adjoint lors du conseil du 13 février dernier.
Tribune - Décembre 2020
Si l’année 2020 a été marquée par une très longue élection municipale, depuis 6 mois il ne se passe plus rien. La circulation, promis, serait la priorité de toutes les priorités ; après 2 réunions publiques fin juillet, pendant les vacances, la question semble enterrée. Idem pour le développement économique : il fallait voter en toute hâte la création d’une commission qui ne s’est jamais réunie. Aujourd’hui, en pleine crise, nos commerces se trouvent bien seuls. Pour les platanes, on allait voir ce qu’on allait voir, les nouveaux élus devaient trouver des alternatives à un abattage qui a pourtant bien eu lieu. Ne pas tenir compte des recherches des élus précédents par dogmatisme pourrait avoir des conséquences : repousser l’abattage prévu plus tôt fait prendre le risque que d’autres arbres sains soient contaminés, et soient donc abattus dans le futur. Mais houlala, décrire cette réalité c’est être « mauvais perdants » (sic). Cette affirmation qui tourne en boucle vient du groupe de Nicolas Géraud, lequel a toujours dit qu’en cas de défaite électorale, il n’aurait pas assumé ses responsabilités dans l’opposition. Bref... Nous tenions à vous souhaiter de bonnes fêtes, qu’elles vous permettent des moments de respiration qui manquent tant en cette période. Prenez soin de vous, et vivement la fin de cette année 2020 !
Tribune - Septembre 2020
Après une élection marquée par l’abstention, le conseil municipal a été renouvelé par les seuls 2 484 électeurs qui ont participé à ce scrutin. Nous tenons à remercier les 809 citoyens qui nous ont portés dans les urnes et à vous donner les principales informations de ce début de mandat : › Mme MADESCLAIR élue par 161 électeurs est devenue déléguée à la jeunesse avec 194,47€/mois, au même rang que les élus de la majorité, alors que notre groupe ne s’est jamais vu proposer la moindre responsabilité. Cette intégration révèle les alliances non déclarées de l’entre-deux tours. Cette fusion conduit la nouvelle équipe à compter 21 adjoints et conseillers indemnisés. Cela participe entre autres, à l’augmentation pour notre collectivité du coût des indemnités des élus par rapport au mandat précédent. La petite baisse des indemnités du Maire ne suffit pas à couvrir les autres augmentations. › Le groupe conduit par M. BREST s’est positionné dès le premier conseil municipal comme un groupe minoritaire de la majorité. Nous sommes donc le seul groupe d’opposition qui veillera toujours à vous défendre et vous expliquer les conséquences des choix de la majorité. L’information est indispensable au bon fonctionnement démocratique, aussi, nous travaillons à la retransmission vidéo des conseils municipaux afin que vous puissiez suivre les débats.
Les Rabastinois au cœur
Tribune - Octobre 2024
Cet été n’a pas été de tout repos pour la commune avec l’effondrement de l’immeuble « Caisse d’Épargne ». Habitants, riverains, commerçants, agriculteurs pâtissent chaque jour de cette situation qui met notre commune en souffrance. Notre soutien va en tout premier lieu aux commerçants concernés par cette catastrophe. Ils ont dû trouver des solutions en urgence pour ne pas baisser définitivement le rideau, car les procédures d’indemnisation par les assureurs sont longues. Encore faut-il qu’ils aient été bien conseillés au moment de la souscription de leurs contrats. Malgré les difficultés quotidiennes que vivent les habi[1]tants, il faut qu’ils restent solidaires et bienveillants les uns envers les autres : des temps meilleurs viendront. De fait, monsieur le Maire s’est investi pour tenter de trouver des solutions face à cette situation, tout en supportant la carence de l’Etat (toujours pas de préfet nommé après le limogeage du précédent). Une fois n’est pas coutume, nous saluons l’engagement de notre Maire pour sa gestion de la crise. Dans ce contexte exceptionnel, la commune se doit d’être prudente sur le plan financier en suspendant l’engagement de dépenses trop importantes dans les mois à venir (reconstruction de la piscine par exemple). Un nouveau système de collecte des déchets vient d’être mis en place dans le centre-ville de la commune. L’agglomération a-t-elle pris en compte les possibles difficultés pour les personnes âgées ou à mobilité réduite, l’éloignement du point de collecte pour cer[1]tains habitants ? Les prochains mois permettront de faire un premier bilan. Nous souhaitons à tous les Rabastinois une entrée dans l’automne avec la joie de découvrir la douloureuse pour les propriétaires (impôts fonciers) pour lesquels la commune n’a pas souhaité consentir un effort pour ses habitants. Enfin, nous terminerons par la gestion des subventions, gestion qui manque de rigueur car notre Maire veut faire plaisir à tout le monde. 2026 oblige ? Alain Brest – Patrick Guénot
Tribune - Juillet 2024
De grosses turbulences agitent actuellement l’agglomération Gaillac-Graulhet et son fonctionnement : souhaitons qu’une nouvelle gouvernance n’ajoutera pas de la gabegie à la gabegie, entraînant par là-même une augmentation de nos impôts, taxes et redevances diverses. À Rabastens, face à diverses incompréhensions ou maladresses au sein de l’assemblée communale, monsieur
le Maire se crispe, redevient maladroit, voire blessant, créant ainsi une mauvaise ambiance en commission comme en Conseil municipal.
Devant cet état de fait, monsieur le Maire a choisi de se replier sur lui-même et de gérer quasiment seul la fin de son mandat :
- remise en cause de la subvention attribuée au comité des fêtes
- prise en charge partielle (jusqu’à 10000 euros) d’un grillage mitoyen suite à la vente à bas prix d’une parcelle communale aux propriétaires du camping (pourquoi ce choix pris par décision du Maire et qui semble même
surprendre certains adjoints ?)
- choix des voiries à réhabiliter avec une gestion parfois hasardeuse (exemple : réfection de la rue des Pérelles et une semaine plus tard voirie ouverte pour l’assainissement ! Résultat, à refaire comme tel a été le cas pour le marquage des parkings autour du collège
Gambetta)
- plan de circulation : certainement reporté aux
calendes grecques
- grands projets : beaucoup d’effets d’annonce et des projets qui font pschitt faute de préparation sérieuse. Monsieur le Maire communique pour se donner le bon rôle (cérémonies, inaugurations, presse, journal
municipal, site internet, application smartphone…) : en quelque sorte, une propagande organisée dans le cadre des prochaines élections municipales de mars 2026. Mais tout cela ne saurait occulter les revirements et renoncements de cette équipe municipale (voir leurs documents de campagne), ni occulter les billevesées et autres fariboles que certain(e)s dans cette majorité
distillent de temps en temps. Enfin, cela ne saurait occulter un fonctionnement autocratique.
Alain Brest - Patrick Guénot
Tribune - Avril 2024
Commissions et séances du conseil municipal se suivent et se ressemblent. A nos questions ou propositions, des réponses alambiquées et des « circulez, il n’y a rien à voir ». L’exécution budgétaire 2023, comme nous l’avions relevée lors de la présentation du budget primitif, fait ressortir très clairement une sous-estimation des recettes et une sur-estimation des dépenses trop importantes. Le résultat ressort à 940K€ contre 444K€ prévu. Cette situation démontre que notre proposition de baisse du taux communal de la taxe foncière d’un coût de RABASTENS POUR TOUS N° 15 - MAI 2024 | 27 TRIBUNES 50K€ aurait pu être réalisée. Réponse du Maire : ce taux s’applique à tous les habitants et cela profiterait surtout aux foyers les plus aisés ! Rappelons que nous ne sommes pas d’accord avec la politique d’embauche de la majorité pour certains postes, notamment à l’urbanisme car cette compétence est du domaine de l’AGGLO. Par ailleurs, le poids des charges de personnel par rapport aux dépenses de fonctionnement passera de 59.9% en 2023 à 60.8% en 2028 (le Maire s’était engagé à faire baisser les charges de personnel). Quant aux projets présentés, les plans de financement complets ne sont pas connus à ce jour. Face au faible investissement pour la rénovation des voiries communales dans le périmètre du centre-ville, notre demande à participer au choix des rues à reprendre en 2024 a eu cette réponse du Maire : « notre décision a été arrêtée pour 2024, nous verrons en 2025 » ! Plan de circulation : nous sommes contre le projet actuel de la majorité d’un accès unique à la place Auger Gaillard avec une sortie par la rue des Abreuvoirs sans compter le type de stationnement à la verticale. Nous souhaitons que ce projet soit débattu en conseil. Comme il est d’usage, les recettes sont sous-estimées et les dépenses surestimées en 2024 mais elles doivent être sincères. On doit donc inscrire en produits exceptionnels en 2024 le produit de la vente du terrain de la Dressière, mais le Maire répond que ce sera plutôt pour 2025. Nous verrons bien.
Tribune - Janvier 2024
Aménagement de logements sociaux à la Dressière : Après plusieurs réunions de présentations partielles par le Maire et deux adjoints des projets en concurrence, 2 ont été retenus à l’unanimité des élus de la commission « Urbanisme » (AMICITA et LA COL). 3 élus de la majorité avaient choisi
le projet AMICITA depuis le début et des élus de l’opposition avaient été séduits par ce projet. Après insistance de l’opposition, les deux entreprises ont présenté leur projet à
l’ensemble des membres du Conseil municipal en répondant à leurs questions. Notons que les élus de l’opposition étaient plus nombreux que ceux de la majorité. Au cours de cette
réunion, il a été constaté par la plupart des élus présents que LE COL présentait le meilleur projet (mixité sociale et réalisme économique). De plus, LE COL présentait un outil innovant, le Bail réel solidaire (BRS) qui permet l’accession à la propriété des locataires, outil que le gouvernement entend développer. Cette majorité n’a pas convaincu monsieur le Maire et ses deux adjoints qui avaient informé l’Agglo de leur préférence pour AMICITA bien avant de nous présenter les deux projets (voir CR du Conseil Municipal du 23/11/2023).
L’urbanisme : Dans le cadre de la révision du Plan Local d’Urbanisme intercommunal 2026 (PLUi), le Maire et sa poignée de fidèles n’ont pas fait preuve de vision à moyen terme et n’intègrent pas certains paramètres tels que le vieillissement de la population (dynamisme économique-survie des commerces) et le maintien de nos infrastructures scolaires,
d’autant plus qu’il faut prendre en compte la construction d’un collège à Couffouleux.
Pouvoir d’achat : L’inflation est d’environ 10% sur deux ans et de l’ordre de 15% sur les produits alimentaires. Nos élus ne sont pas sensibles aux difficultés de leurs administrés car les taxes foncières ont augmenté de 22.4% depuis 2020 et le prix du m3 d’eau de 25.7% depuis 2021. Mais qui décide de ces augmentations ? Demandez à monsieur le Maire, vice-président de l’Agglo.
Tribune - Octobre 2023
Considérant que la taille de la police utilisée pour les tribunes libres ne permet pas une lisibilité des contenus, considérant que nos multiples demandes d’utiliser la même police pour l’ensemble du bulletin n’ont jamais été prises en compte, considérant que ces refus nous apparaissent comme un déni de démocratie, nous avons décidé collectivement de ne rien publier.
Tribune - Juillet 2023
Nous sommes quelque peu interloqués par des décisions prises par une poignée d’élus de la majorité (5 personnes au maximum) qui considèrent que la concertation fonctionne dès lors que la présentation succincte des dossiers en commission avec plusieurs propositions corrobore leur choix. Trois exemples illustrent notre propos. Plan de circulation : plusieurs propositions du même cabinet, celle mise en avant est retenue sans débat alors qu’elle ne réglera rien au problème mais en créera d’autres. Messieurs les élus qui décident en petit comité, ne vous fiez pas à ces cabinets ne recherchant que le profit et faites preuve d’un peu de bon sens. Aire de jeux de Constance : la mairie annonce sur sa page Facebook un coût de plus de 100 000 €, montant supérieur à ce qui nous avait été annoncé. Projet de construction d’un lotissement avec logements sociaux à la Croix blanche : trois propositions présentées de façon très incomplète pour nous expliquer qu’une seule est recevable sans approfondissement des dossiers en commission ! Ce fonctionnement est inacceptable, à se demander s’il est utile de participer aux commissions puisque tout est décidé par avance. Connaissent-ils le sens des mots information et communication ? Enfin, l’AGGLO va augmenter le tarif de l’eau de 11.43% sans en informer par avance les habitants.
Tribune - Avril 2023
À mi-mandat, le Maire semble conscient des difficultés de la fonction qui nécessite ambition mais patience, investissement personnel mais équilibré entre commune et Agglomération, sens des relations mais lucidité, volonté mais réalisme. Pour se fixer des objectifs à moyen/long terme, il ne faut pas promettre mais avancer pas à pas pour les atteindre en évitant les obstacles. Il faut également partager l’information avec les élus de l’opposition, ses collègues de l’intercommunalité et les convaincre des besoins pour notre commune. Les technocrates de l’Agglomération ne doivent pas imposer leur choix aux élus. La « fiscalisation » du budget des écoles s’est faite au détriment des ressources de la commune : nous en payons aujourd’hui les conséquences financières qui sont au profit de l’Agglomération. Lorsque nous demandons aux élus de la majorité (municipale ou de l’Agglo) de limiter les conséquences de la revalorisation des bases foncières, prisonniers de leurs décisions antérieures ils déclarent : « ce n’est pas nous, c’est l’État », ne tenant aucun compte des différentes augmentations du coût de la vie. Votre facture foncière d’octobre prochain se traduira par une augmentation de l’ordre de 8% par rapport à celle de 2022! L’opposition doit être mieux prise en considération quand elle est force de proposition et fait preuve de réalisme.
Tribune - Décembre 2022
Petits rappels. Dans un article de presse, le Maire « monte au créneau » en réponse à notre tract (voir notre page Facebook) : « le premier magistrat attaque l’ancien maire sur « son héritage » : le manque de logements sociaux qui va nous valoir sous peu des amendes ». Rafraîchissons-lui la mémoire : - mandat 2008-2014 (maire Alain Brest) : construction de logements sociaux route de Toulouse - mandat 2014-2020 (maire Pierre Verdier) : pas de logements sociaux construits - mandat 2020 (maire Nicolas Géraud) : à ce jour, pas de logements sociaux construits. Ainsi, les seuls logements sociaux initiés par la commune l’ont été durant le mandat 2008-2014. Il ne faut pas faire passer des vessies pour des lanternes en laissant croire qu’un soit-disant « héritage » serait responsable de la situation actuelle, conséquence des nouvelles lois en vigueur aujourd’hui (notamment avec la loi SRU, solidarité et renouvellement urbain). Monsieur le maire, de deux choses l’une : - soit vous êtes mal informé, et dans ce cas il faut réfléchir avant de tenir des propos inexacts - soit vos propos sont intentionnels, et dans ce cas ils relèvent de la désinformation. À vous de choisir… Au seuil de cette nouvelle année, les « Rabastinois au coeur » présentent à tous les habitants leurs meilleurs voeux pour 2023. www.facebook.com/groups/lesrabastinoisaucoeur
Tribune - Septembre 2022
Les commissions municipales constituent le point de départ des réflexions et des projets à engager dans la commune. Afin de les rendre plus fonctionnelles et permettre l’investissement des conseillers, un courrier signé par neuf conseillers municipaux a été adressé au Maire et propose : › de définir les thématiques des commissions autour de pôles : Finances, Économie — Éducation, Enfance, Jeunesse — Urbanisme — Travaux — Mobilité (l’accessibilité relevant soit de l’urbanisme, des travaux ou de la mobilité) — Tranquillité publique — Vie associative et culturelle (dont sports) — Développement durable (les commissions CCAS, CAO, marché de plein vent inchangées) › de les constituer de 11 membres avec voix délibérative (6 de la majorité, 2 pour Engagés, 1 pour Rabastinois, 1 pour élues indépendantes, 1 pour autre) › de les réunir à 20h30 pour faciliter la participation des conseillers ayant une activité professionnelle › de permettre, en cas d’absence d’un titulaire, qu’un membre issu du même groupe ait voix délibérative › de permettre la participation de tout conseiller autre sans voix délibérative. Nous souhaitons que ces propositions soient prises en compte et se concrétisent. Signataires : Élus « Rabastinois au cœur » - Élus « Engagés pour Rabastens » - Élues indépendantes
Tribune - Juillet 2022
À l’occasion du dernier bulletin municipal, nous découvrons que la date des articles demandés à l’opposition est arrêtée quinze jours avant le bouclage du document. Ce choix ne peut être que calculé car il permet à la municipalité de répondre, autant que faire se peut, à nos remarques constructives, traduction de l’attente des habitants de la commune. Nous apprenons ainsi qu’un effort sera réalisé sur les voiries communales à hauteur de ce que nous demandions depuis plus d’un an. Le Maire «habille» son retard qui serait dû au changement de maires qui ne restent que le temps d’un mandat : nous traduisons cet aveu par l’impréparation de l’équipe actuelle qui a pourtant travaillé deux ans avant l’élection et qui avait promis beaucoup. Le Maire en appelle aux bonnes volontés car il se rend compte qu’une partie de son équipe n’est pas à la hauteur. Rappelons qu’il a choisi son équipe, où chacun perçoit des indemnités, pendant que les élus d’opposition doivent acheter leur matériel pour travailler correctement. Enfin, nous informons la majorité municipale que les études ne sont pas nécessaires pour obtenir des subventions et que l’état de la commune ne relève pas de la responsabilité des deux mandats précédents mais du maire et de l’équipe aux commandes en 2004/2007. Encore une fois, ne racontez pas une histoire qui vous arrange.
Tribune - Mai 2022
Nous continuons d’être force de proposition envers une majorité qui campe sur ses certitudes : malgré quelques rares avancées, elle a des progrès à faire pour prendre réellement en compte les besoins de ses administrés. La désimperméabilisation d’un parking dont le coût pour la municipalité est conséquent est-elle une priorité alors que nous demandons depuis plus d’un an de consacrer 200 000 euros par an à la réfection des voiries les plus dégradées ? Une machine disponible à l’AGGLO pourrait répondre en partie à ces travaux. Le Maire s’est engagé au conseil du 24 mars à inscrire cet investissement au budget. Affaire à suivre. Pour la double facture d’assainissement, on bricole sous la pression des habitants un planning d’étalement du paiement. Convenons que ce dossier est le résultat d’une improvisation totale, voire d’une gestion à la petite semaine. A notre demande, le Maire s’est engagé à être attentif pour apporter une aide aux plus démunis dans le cadre de la Commission CCAS. Quant aux grands projets (plan de circulation, passerelle...), la majorité accouche d’une souris. Nous espérons qu’elle passe à la vitesse supérieure pour une réelle mise en œuvre. Enfin, malgré un engagement formel pris par le Maire en 2020, il n’y a toujours pas de véritable démocratie participative ni de budget participatif. Oubli ou renoncement ?
Tribune - Décembre 2021
Certains dossiers avancent, mais il reste beaucoup d’efforts à accomplir : - refus de transparence de la part du Maire pour les études de toutes sortes qu’il n’a de cesse de solliciter - absence de visibilité sur des investissements indispensables - incapacité à tenir à jour l’application mobile, notamment en terme de grands projets - implication insuffisante dans le fonctionnement de l’agglomération liée au manque de connaissance de l’articulation des compétences communes/communauté d’agglomération - passivité eu égard aux décisions de l’agglomération prises par quelques-uns. Par ailleurs, après l’épisode de la taxe foncière douloureuse en cette fin d’année, l’Agglo impose la facturation de deux ans de redevance d’assainissement en janvier 2022 sans que nos élus ne réagissent. Nous avons suggéré à monsieur le Maire d’abandonner la redevance de 2020 en lui proposant des solutions pour agir. En tiendra-t-il compte ? Que fera-t-il au final ? Le plan de circulation dont la première phase vient de nous être présentée avance à un train de sénateur. A quand le concret pour les Rabastinois ? Au seuil de la nouvelle année, les « Rabastinois au cœur » vous présentent leurs meilleurs vœux pour 2022. Nous continuerons, comme nous l’avons toujours fait, à être vigilants et force de proposition dans l’intérêt de la commune et de ses habitants.
Tribune - Octobre 2021
Monsieur Géraud ne cesse de critiquer son opposition mais il ne remet jamais en cause son mode de fonctionnement, et c’est sur ce point que le bât blesse. Après une année aux responsabilités, beaucoup de gesticulations et d’effets d’annonces mais peu d’actions concrètes et utiles aux Rabastinois. Nous verrons dans les mois à venir car les habitants s’interrogent, voire s’inquiètent. Il faudrait qu’il y ait débat au sein du conseil municipal. Quand on pose des questions, il n’y a pas de réponses, sans compter les comptes rendus dans lesquels sont tronquées certaines de nos interventions. Or, les commissions devraient être le lieu d’examen des propositions tant de la majorité que de l’opposition. Mais nos demandes ne sont pas entendues, les projets importants n’y sont pas abordés et sont renvoyés aux calendes grecques. Nous aurions préféré pour cette année voir s’engager des actions répondant aux besoins immédiats des Rabastinois : plan de circulation, accès handicapés, parking vélo, entretien des voiries, réorganisation de la collecte des déchets et des recyclables, sans oublier une présence forte à l’agglomération… Pour l’instant, rien de tout cela. Mais les consultants travaillent… Vers un nouveau, nouveau, nouveau départ ? Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ?
Tribune - Juillet 2021
Fiscalité : mise au point. Après l’épisode de la destitution de la première adjointe, puis celui de la vente du camping municipal (malgré l’engagement contraire dans le programme de monsieur Géraud), voici aujourd’hui celui de la fiscalité locale, qui résulte du choix fait par monsieur Géraud au niveau de la commune. Dans un souci de transparence vis-à-vis de nos concitoyens, sans employer ni invective ni propos acerbes, nous avons simplement mis à disposition de chaque foyer un outil de calcul de l’impôt foncier 2021 (www.facebook.com/groups/lesrabastinoisaucoeur). Seule la réalité des décisions prises et des conséquences financières induites compte, n’en déplaise à monsieur Géraud : il doit assumer ses choix sans utiliser des arguties visant à se dédouaner. À l’automne, les Rabastinois recevront leur avis de taxe foncière 2021 et seront alors à même d’en découvrir l’augmentation réelle. Sollicitant cabinets d’experts et bureaux d’études avec des coûts non négligeables, (où sont donc les fameuses compétences mises en avant lors de la campagne municipale ?), le Maire ne s’adapte pas à l’exercice de la démocratie et n’accepte pas le débat, les suggestions ou les remarques de l’opposition. Pour notre part, nous continuerons à être une force de propositions, nous continuerons à informer nos concitoyens et à rester à leur contact.
Tribune - Mars 2021
Après la victoire de la liste « Nouveau départ pour Rabastens », il nous était promis un début de mandat fort avec une équipe dont la cohésion ne faisait aucun doute, avec un projet qui se voulait complet et minutieusement élaboré. Force est de constater qu'après neuf mois de fonctionnement la réalité est d'une toute autre nature, et les couacs ou incohérences restent fréquents : une éviction soudaine de la première adjointe, une pléthore de délégations réparties entre tous les conseillers de la majorité (et même avec une candidate d'une autre liste)... Gérer un conseil municipal, c’est tenir compte des différences, c'est être à l'écoute de tous, c'est ne pas blesser inutilement les intervenants et surtout ne pas s'affirmer comme le chef avec une prose parfois martiale et sur un ton souvent péremptoire. C'est aussi associer réellement les conseillers au travail des commissions, et non pas leur présenter les résultats quand les décisions ont déjà été prises, c'est ne pas stigmatiser les uns contre les autres mais agir pour une plus grande cohésion. C’est enfin maîtriser la fiscalité à l'heure où notre pays traverse une crise sanitaire, avec de profondes conséquences sociales et économiques. Tout était prévu, on nous promettait un nouveau départ, des lendemains qui chantent et le soleil d'Austerlitz. Mais n'est pas Napoléon qui veut.
Tribune - Décembre 2020
La précédente équipe (2014-2020) avait laissé la poussière sous le tapis : dette à l’agglomération de l’indemnité d’assurance suite aux malfaçons de l’école Las Peyras, mutualisation particulière du personnel, ce qui représente de l’ordre de 300 000 € (que la commune devra reverser à l’agglomération). Alors que notre équipe aurait été opérationnelle immédiatement, l’équipe en place semble en apprentissage et a choisi de désigner 22 conseillers rémunérés (coût de 100 000 € par an). Si certains sont impliqués dans leur mission, d’autres sont étrangement absents ; on ne sait pas toujours qui fait quoi, et des décisions se font attendre, notamment par la mise en place trop lente des commissions. Gageons que cette période de rodage se termine rapidement, dans l’intérêt de la commune et de ses habitants. De notre côté, nous nous inscrivons dans une minorité constructive, avec une forte implication dans les différentes commissions, conformément au programme que nous avons proposé. Nous le répétons, nous serons force de propositions dans un esprit constructif mais également vigilant. A l’aube de cette nouvelle année, nous adressons nos meilleurs voeux de bonheur aux Rabastinoises et aux Rabastinois : puisse 2021 permettre à chacun de vivre dans la sérénité, la confiance et l’espérance en des temps meilleurs. Alain Brest, Patrick Guénot
Tribune - Septembre 2020
A bien des égards, les élections municipales de 2020 furent particulières : contexte lié au coronavirus, présence de quatre listes et taux d’abstention élevé et inhabituel pour ce type d’élection. Néanmoins, l’exercice démocratique a eu lieu, chacun doit en prendre acte et le respecter. Nous adressons nos félicitations républicaines à la nouvelle équipe issue de cette consultation et formons des voeux de réussite pour Rabastens et ses habitants. Nous remercions sincèrement les électeurs qui ont choisi de nous apporter leurs suffrages : au sein du conseil municipal, nous serons force de propositions dans un esprit constructif mais également vigilant. Lors du premier conseil, force a été de constater que le changement, c’est pour plus tard : › délégations données au Maire identiques à celles de son prédécesseur, avec un pouvoir trop important accordé sans avis préalable du conseil › indemnités pour l’ensemble des élus de la majorité (21) plus madame Madesclair (?) pour un montant annuel de 101 280 €, ce qui est proche de l’enveloppe maximale prévue par les textes et de plus supérieure à celle de la précédente mandature. Nous avions proposé une baisse de 20 % de cette enveloppe, qui permettait le financement d’un budget participatif annuel de 20 000 €. Dommage ! Pour l’équipe des « Rabastinois au coeur », Marie-Luce Albarède, Alain Brest.
Couleurs Rabastinoises
Tribune - Octobre 2024
Le texte de la tribune n’a pas été transmis.
Tribune - Juillet 2024
Le texte de la tribune n’a pas été transmis.
Tribune - Avril 2024
Chers Rabastinois, chères Rabastinoises, il est crucial de reconnaître qu’au sein du paysage politique contemporain, certains protagonistes semblent demeurer comme la grenouille au fond du puits, incapables de percevoir l’étendue de l’océan et ainsi les nombreux défis qui se dressent devant eux. Les erreurs s’accumulent, illustrées par des actions telles que la prise en otage d’une partie du milieu associatif, motivée visiblement par des intérêts particuliers et des conflits d’intérêts manifestes, démontrant ainsi une flagrante incompétence et un manque de vision. Gouverner, c’est prévoir, disait l’adage, mais pour certains, cette maxime semble ne pas s’appliquer, surtout pas à Rabastens. L’usage inadéquat des deniers publics devient monnaie courante, alimentant le mécontentement général de la population. Si l’ancienne mandature avait réussi à laisser une jolie pelote de plus de 1 million d’euros, qu’en est-il aujourd’hui ? Devons-nous tolérer cela, sous prétexte de «continuer à mentir parce que je veux mon deuxième mandat» ? Il est grand temps de mettre un terme à cette mascarade politicienne. Nous avons besoin de leaders véritablement à la hauteur, capables de respecter les règles du jeu tout en défendant les intérêts de tous les citoyens, sans exception. Il est temps d’achever l’ère des politiciens sans envergure et de choisir des représentants dignes de ce nom, prêts à oeuvrer pour le bien commun, avec intégrité et détermination. Pour bâtir un avenir meilleur, il est impératif que notre classe politique se hisse à la hauteur des attentes de la société et agisse avec responsabilité et transparence. Vous pouvez toujours changer les paroles tant qu’il y a encore de la musique, mais si quelqu’un arrête la musique en disant la vérité, on verra que vous chantez faux et perdrez votre statut de Diva. Sandrine Madesclair, Couleurs Rabastinoises
Tribune - Janvier 2024
En cette période empreinte de chaleur et de partage, je vous adresse mes voeux les plus sincères. Puissent ces moments festifs remplir vos foyers de joie, de bonheur et d’harmonie. Que cette nouvelle année vous apporte santé, réussite et prospérité, mais surtout, qu’elle soit le préambule d’une période de réalisations collectives et de solidarité accrue au sein de notre commune. À l’aube de cette année nouvelle, mes pensées se tournent naturellement vers notre belle cité. En tant
que rabastinoise, nous partageons des liens forts qui transcendent les clivages politiques. Ces liens nous unissent autour de valeurs communes : le respect, la solidarité et le désir de voir notre ville évoluer harmonieusement.
Ensemble, nous avons dû surmonter des défis importants. Cette expérience m’a appris à
connaître les enjeux qui nous préoccupent, à saisir les aspirations qui animent nos coeurs. Ainsi, je nourris l’ambition sincère de continuer à servir notre belle commune de la manière la plus dévouée qui soit. Dans cette perspective, je mesure l’importance de l’engagement au service de notre ville. Les prochaines élections municipales représentent une opportunité
unique de poursuivre notre chemin ensemble, de concrétiser nos idées, de renforcer notre tissu social et de construire un avenir encore plus rayonnant pour Rabastens. Je suis animée d’une profonde volonté de travailler main dans la main avec vous tous, de donner le meilleur de moi-même pour notre communauté, en
m’appuyant sur notre histoire commune et en tissant des liens encore plus solides. En ces voeux que je vous adresse, résonne le désir ardent de contribuer au bien-être de chacun, de répondre aux attentes de tous et de faire de Rabastens un lieu où il fait bon vivre pour chaque habitant. Ensemble, je suis convaincu que nous pourrons bâtir un futur radieux
et porteur d’espoir pour notre chère commune. Que cette nouvelle année soit le prélude d’une nouvelle aventure collective.
Tribune - Octobre 2023
Cet été a été marqué par de nombreuses et riches festivités, et nous souhaitons exprimer un grand merci à notre tissu associatif qui a contribué à les rendre possibles. Parmi les moments forts de cette rentrée, la Coupe du Monde de Rugby a débuté, rappelant que le sport est bien plus qu’un simple divertissement. Il joue un rôle crucial en tant que vecteur d’insertion sociale, transcendant les considérations économiques et politiques. Bien que pour certains, le sport puisse sembler futile à côté des événements économiques et mondiaux. Il ne faut pas oublier que «qui dit rentrée, dit taxe» augmentation des énergies et fluides entrainant une baisse du pouvoir d’achat. Pour de nombreux habitants du Rabastinois, cette période va devenir extrêmement compliquée. Il est impératif que nous fassions entendre leur voix et exprimions leur détresse à la communauté d’agglomération par la voix du maire de Rabastens. En cette fin d’été, la commune a livré un local flambant neuf au Secours Populaire, une belle initiative. Cependant, l’équité envers toutes les associations à caractère social est primordiale, en leur offrant des conditions de travail égales : quid de l’association des 7 liens ? Nous devons veiller à ce que toutes ces organisations bénéficient du soutien dont elles ont besoin pour accomplir leur noble mission.
Tribune - Juillet 2023
Rabastens, le bien vivre ensemble, est confronté à un climat délétère. Le terme “facho” est utilisé à tort et à travers par ceux qui manquent d’arguments ou ont une pensée étroite et unique. Tout est instrumentalisé à des fins politiques. Nous nous trouvons sur une véritable poudrière. Plutôt que d’engager des débats constructifs, certains préfèrent user du terme “facho” pour discréditer leurs opposants. Cela révèle une fermeture d’esprit et un manque d’ouverture aux différents points de vue. Qualifier systématiquement quelqu’un de “facho” témoigne d’un manque d’arguments et empêche une compréhension mutuelle. Cette attitude nuit au tissu social et entrave le dialogue constructif nécessaire pour résoudre les problèmes. Il est important de comprendre que tous les sujets peuvent être instrumentalisés à des fins politiques. Les politiciens et les groupes d’intérêt exploitent souvent les situations à leurs propres avantages. Il est donc primordial d’être vigilant et de ne pas se laisser manipuler par des discours partisans. Il est temps de revenir à des échanges basés sur des arguments solides et de favoriser une pensée plus large. Il est urgent de désamorcer cette poudrière qui nous menace, en favorisant la compréhension mutuelle et en travaillant ensemble pour un avenir meilleur.
Tribune - Avril 2023
Ces derniers temps, nous avons assisté à des grèves, à la détérioration de biens publics et à des violences qui ont créé des rancœurs parmi la population. Nous devons rappeler que notre liberté individuelle ne peut pas se faire au détriment de notre devoir envers le bassin rabastinois. La situation économique actuelle, marquée par l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat, ne doit pas justifier les comportements destructeurs, l’intérêt personnel et les mensonges. L’avenir repose sur notre capacité à réapprendre la bienveillance et la solidarité. Nous devons travailler ensemble pour promouvoir l’intérêt collectif et éviter les pièges de l’instrumentalisation et du clivage de caractère. En tant que petite ville de demain, Rabastens doit également faire face à un autre défi majeur : le manque de logements sociaux. Nous devons agir rapidement pour répondre aux besoins de nos concitoyens les plus fragiles et les plus défavorisés. La solidarité doit être au cœur de notre action pour permettre à tous les Rabastinois de vivre dans des conditions décentes. Nous devons nous engager résolument dans la promotion de la bienveillance et de la solidarité en évitant les pièges de l’instrumentalisation. Le futur de notre ville dépend de notre capacité à travailler ensemble pour relever les défis qui nous attendent.
Tribune - Décembre 2022
Comme le veulent la tradition et la période, Couleurs Rabastinoises a décidé d’envoyer sa lettre au Père Noël. Pourrions-nous nous préoccuper de la désertification médicale et d’une résidence d’autonomie comme d’une urgence absolue ? Peut-être l’envisager comme un grand projet structurant du mandat actuel, certes un peu moins clinquant qu’une piscine ou qu’un nouveau stade de rugby, mais tellement plus en adéquation avec les attentes de notre territoire. La désertification médicale est une notion censée mettre en évidence le manque de praticiens dans une zone donnée, qu’il s’agisse de médecins généralistes, médecins spécialisés ou auxiliaires médicaux. Nous avons une fuite de nos médecins qui risque à court et moyen terme de s’étendre à d’autres corps de métier et déséquilibre notre bassin de vie et d’engendrer une réelle problématique territoriale. Nous devons également repenser notre territoire en y incluant une Résidence d’autonomie, car nos anciens ne doivent pas être les laissés-pour-compte d’un système mal géré jusqu’alors. L’artiste de rue américain Kevin Lee, n’a-t-il pas qualifié son travail «d’invisibilité de la pauvreté» ? Malgré le contexte économique compliqué, nous vous souhaitons, à toutes et tous de très belles fêtes de fin d’année. N’oublions pas que la solidarité, c’est l’espoir de vivre ensemble. Sandrine Madesclair
Tribune - Septembre 2022
[Le texte de la tribune de Couleurs Rabastinoises n’a pas été transmis dans les délais pour être intégré]
Tribune - Juillet 2022
Pardon d’être celle que je suis : une femme humaniste. Pardon, d’assumer une ligne politique différente de la majorité, même si nous appelons ça “une cohabitation”. Mon rôle sur notre commune est, et sera toujours d’oeuvrer pour le collectif, une notion bien souvent galvaudée par bon nombre d’entre nous. On me reproche des écarts de langage, prises de position, d’actions, et parfois même des mélanges de genres : alors pardon pour ça aussi. La différence entre l’inaction de certains et mes prises de risque peuvent effectivement choquer. Parallèlement à ma délégation à la jeunesse, je me suis vu confier les associations et les festivités. Le monde associatif est extrêmement riche sur notre territoire et doit devenir un atout fort et majeur de notre commune. Mais ô combien fragile si nous ne les soutenons pas, de surcroît après une sortie de crise sanitaire qui aura fait de nombreux dégâts. Je serai le garant de cet équilibre, qui consiste à construire des projets, structurer des événements de manière coopérative entre la municipalité et les porteurs de projets. Rien ne pourra s’organiser et se dérouler sans ces ingrédients. Pour finir, je souhaitais revenir sur la démission de deux membres de la minorité et saluer leur engagement sans relâche même si nous avions des points de divergence aussi bien sur le fond que sur la forme.
Tribune - Mai 2022
Au vu de l’actualité, les sujets brûlants ne manquent malheureusement pas : le Covid, l’Ukraine, les présidentielles, le pouvoir d’achat… Nous aurions pu commencer par ces quelques mots de compassion anti-démagogique et vous expliquer que les mois à venir vont être extrêmement compliqués. Nous avons fait le choix d’orienter notre tribune sur des points positifs, et laisser aux autres le soin de faire de la politique électoraliste ou de comptoir. Nous préférons l’adage du verre à moitié plein, et ainsi savoir rendre hommage aux dernières initiatives réalisées dans notre cité. La jeunesse est, et sera toujours notre préoccupation Nous avons à l’étude un très beau projet émanant directement du Conseil municipal jeune et supervisé par un groupe d’élus passionnés. Nous avons oublié depuis plusieurs années que nous avions une jeunesse rabastinoise et qu’elle n’est pas une problématique, mais bien là une richesse. Ils sont l’avenir, les fondations de notre futur, pour ceux qui ont, comme couleurs rabastinoise, une vision à long terme. Nous souhaitions également revenir sur la journée internationale des droits des femmes et remercier toutes celles qui y ont participé. Et je rappellerai pour conclure, en écho à un post déplacé récupéré au hasard d’une conversation, que « Les femmes sont faites pour être aimées, pas pour être comprises ».
Tribune - Décembre 2021
Les nombreux instrumentalisations et détournements d’images, de paroles, dans le seul but de ridiculiser les membres de la majorité dénichés sur le réseau social favori des Égarés, dénotent un réel manque de confiance et d’arguments. Attention à ne pas devenir un correspondant en manque d’objectivité. L’audit du plan de circulation vient d’être dévoilé ; il peut être l’occasion de réfléchir sereinement et ensemble sur la possibilité de créer des zones partagées, accessibles à tous en toute sécurité, et pourquoi pas de chercher à les végétaliser de façon cohérente et uniforme. Concernant la 5G, nous sommes nombreux à ne pas en vouloir à notre porte, mais incapables de nous en passer. Qui ne possède un téléphone, un ordinateur et qui serait prêt à s’en débarrasser ? Nous sommes certes présents au conseil d’administration de la maison de retraite, mais subissons par ricochet les décisions de l’état qui favorise la rentabilité au détriment de l’être humain. Le CMJ vient de prendre son envol, je serai certes leur guide, mais comme indiqué lors du dernier Conseil municipal, je ne manquerai pas d’inviter les membres de la minorité désireux de les écouter. La controverse n’est qu’un point de vue différent. Charge à certains d’abandonner cette tendance à partager souvent le point de vue de la théorie du complot.
Tribune - Octobre 2021
Les réseaux sociaux ont donné le droit de parole à bon nombre de personnes qui se sentent extrêmement puissantes et investies derrière leurs écrans, tels des super-héros. Ils ont des avis sur tout mais surtout des avis, pouvant juger et détruire en quelques mots, la vie des autres. Pour reprendre néanmoins un des thèmes récupérés récemment. Les accusations que j’ai pu lire sont contre-productives parce qu’elles portent atteintes à des hommes qui demeurent de véritables alliés du féminisme. Nous sommes en droit de nous demander si ces dites féministes ne seraient pas tout simplement en train d’instrumentaliser un sujet sensible à des fins électorales. Des propos outranciers avec des arguments bancals. Les féministes, seraient-elles devenues «anti-hommes» ? N’oublions pas que « la femme castratrice est à la psychologie ce que le voile est au Coran ». Dans les deux cas, l’homme est victimisé. Attention toutefois que toutes ces accusations, ne finissent pas par engendrer à terme, des votes et comportements extrêmes. À compter de ce jour, et afin d’éviter de perdre mon temps à pointer ces dérives, je propose à chaque Rabastinois(e) souhaitant prendre la parole, de venir à ma rencontre, et ainsi, avoir l’opportunité de pouvoir s’exprimer, sur de véritables sujets constructifs, afin de publier en lieu et place de ma tribune.
Tribune - Juillet 2021
Ces trois derniers mois écoulés semblent être plus que jamais les prémices de jours meilleurs avec un virus qui tend à ralentir sa marche tous les jours un peu plus, nous permettant ainsi de nous retrouver sur des terrasses restées si longtemps vides. Ces trois derniers mois ont été aussi les témoins d’un premier geste fort de la municipalité auprès du monde agricole, si durement touché par les dernières intempéries. Des rendez-vous des plus constructifs auprès des écoles nous ont permis de finaliser le conseil jeune, pour une mise en place lors de la rentrée prochaine. Mais ces trois derniers mois n’ont pas, si l’on en juge par la teneur des derniers conseils municipaux et autres commissions, encore permises de valider que « la femme est l’avenir de l’homme ». Par vos comportements respectifs, vous ternissez l’image de celle-ci et desservez celles qui comme moi, croient en cette politique basée sur l’intérêt commun et aux actions concrètes à mener auprès des Rabastinois. Je suis une femme à l’image de l’île qui m’a vu naître et qui a pris le soin de bâtir avec la plus grande attention le socle de mon enfance. Une île à l’incroyable diversité culturelle, prônant à la fois la tolérance, l’acception de la culture et religion d’autrui. Et ni vos menaces ni vos tentatives d’intimidation ne me feront changer. Soyez-en sûres.
Tribune - Mars 2021
Impliquée sur l'ensemble des commissions, associée à des réunions projets afin d'être force de proposition et garder toujours en tête le bien commun : telle est ma mission. Le conseil jeune prend forme et sera opérationnel en septembre prochain. Il impliquera les jeunes dans des projets éducatifs, citoyens pour forger leur citoyenneté de demain. Travailler en étroite collaboration au côté du CCAS me permet d'être au plus près des citoyens et d'en mesurer toute la dimension sociale sur notre territoire. S'il fallait résumer la politique d'opposition Rabastinoise en une seule phrase : « Dis quelquefois la vérité, afin que l'on te croie quand tu mentiras ». Je comprends enfin la raison de toute cette énergie dépensée par les listes menées par SC et AB à vouloir censurer ou galvauder les vérités qui les dérangent. Soyez rassurés, CR ne s'inscrira jamais dans cette méthode ô combien stérile. Je resterai un soutien à l'équipe municipale afin de l'aider à mettre en place son projet, de veiller à ce qu'elle respecte ses engagements, et de poursuivre ce que toutes les équipes clamaient haut et fort avant ce fameux 28 juin « Solidarité, Bienveillance et Ambition pour notre cité ». Cette crise que nous subissons de plein fouet devrait nous faire réfléchir sur nos comportements individuels et leurs conséquences. Le Rabastinois, aimez-le ou quittez-le.
Tribune - Décembre 2020
2020, restera une année bien particulière pour chacun et chacune d’entre nous. Ces fêtes de fin d’année seront placées dans un contexte historique et sanitaire exceptionnel qui placeront chacun d’entre nous dans une situation inédite. Une année marquée par des élections municipales, laissant elles aussi une empreinte particulière par son nombre, ses têtes, mais aussi ses excès. Une chose est sûre, grâce à vous, je suis une femme meilleure, et je reste convaincue que pour changer les choses, il faut que des gens ordinaires s’engagent et s’impliquent. Tout n’est pas parfait, mais nous faisons de notre mieux pour améliorer le quotidien de chacun, comme le fait par exemple de veiller sur nos aînés amenés à s’isoler de nouveau dans le cadre de ce nouveau confinement. La démocratie n’est pas facile à entretenir, la qualité de la passation des dossiers en est malheureusement une preuve, mais soyez rassurés : je continuerai de respecter au mieux nos Couleurs. N’oubliez pas que notre démocratie est menacée lorsque nous oublions nos valeurs morales, et qu’il incombe à chacun d’entre nous d’être le gardien jaloux de notre cité. Comme indiqué voici quelques mois, mais aussi pour rassurer mes opposants, il s’agit bien de l’intégralité de mes émoluments qui sera reversée au monde associatif ainsi qu’aux petits commerces, durant mon mandat.
Tribune - Septembre 2020
« Le succès n’est pas final. L’échec n’est pas fatal. C’est le courage de continuer qui compte. » W. Churchill. Couleurs Rabastinoises sort de cette longue, éprouvante et si particulière campagne grandie, car bien souvent chahutée mais toujours debout. Plus forte que jamais car c’est aussi dans la défaite que l’on se doit d’apprendre. Si tant est que nous puissions parler de défaite. Ce groupe aujourd’hui considéré comme sincère n’a jamais cessé le combat. Même aux heures les plus sombres liées au confinement, nos actions menées n’ont certes pas fait la une des journaux, mais n’est ce pas la le fondement même du mot altruisme ? Le 29 juin a sonné le début d’une nouvelle saison avec son lot de départ, désireux pour la plupart de donner une nouvelle orientation plus personnelle à leur carrière, mais aussi et surtout marquée par l’arrivée de nouvelles et nombreuses âmes souhaitant amener toute leur énergie et leur passion à notre cause commune. Le fait de s’être vu proposer une délégation par la nouvelle municipalité est aussi un signe fort de reconnaissance. Au conseil municipal, je défendrai avec constance et assiduité les valeurs que vous avez soutenues par votre vote. Nous nous devons de réussir pour remercier toutes celles et ceux qui ont cru en nous mais aussi dans le but de préparer les prochaines échéances à venir. S. Madesclair
Elues indépendantes Rabastinoises
(I. Cadène & A. De Guerdavid)
Tribune - Octobre 2024
Compte tenu de la situation délicate actuelle à Rabastens nous avons jugé préférable de ne pas sortir de Tribune mais de chacune à notre fonction (Isabelle Fouroux Cadene à l'agglomération Gaillac Graulhet au Bureau et en Commission attractivité et Ànne de Guerdavid en qualité de conseillère municipale) œuvrer en solidarité républicaine et de ne pas lancer de nouvelle polémique.
Tribune - Juillet 2024
La grande lessive de Monsieur le Maire de Rabastens continue et toujours en ligne de mire des élues femmes, trop investies, trop présentes sur le terrain et ayant du caractère! Il ne fait pas bon dire non au sein de cette
municipalité. Pourtant, c’est bien ainsi que se sont toujours faites les plus grandes avancées dans notre République, c’est le simple jeu de la Démocratie! Et hop les délégations sont enlevées et l’opposition grossit. C’est le fait du prince pardon, du maire. Espérons que l’été qui commence apaisera tout cela. Notre si belle
cité fourmille de vélos et de trottinettes. De nombreux enfants et adolescents circulent, nous le voyons chaque jour, les yeux rivés sur leurs téléphones ou avec des écouteurs et la circulation est toujours aussi intense malgré
les promesses de la majorité. Restons tous vigilants! À la plage également trop de drames qui endeuillent ce site si agréable. Nous renouvelons nos appels à la prudence et nous insistons pour que les deux policiers municipaux soient plus sur le terrain, à la plage ou à l’entrée du pont pour accentuer la prévention en lien avec Couffouleux. Récemment encore un jeune homme a perdu la vie dans le Tarn par méconnaisance de ses
dangers. Attention au courant et aux trous d’eau! Bel été à tous. Nous restons à votre disposition par message privé sur notre page FB. À bientôt.
Tribune - Avril 2024
Les rabastinois s’interrogent sur l’avenir des Terrasses du Tarn lié intimement à l’Ehpad ? Les rumeurs les plus folles courent encore, déstabilisant nos aînés hébergés dans cette structure alors même qu’ils n’aspirent qu’à de
la sérénité pour finir leurs jours près des leurs. Certes la problématique n’est pas uniquement imputable à la municipalité en place mais, lors de la campagne électorale le futur maire avait su, habilement, interroger sur l’avenir de l’Ehpad et accuser la précédente municipalité. Mais à ce jour qu’a-t-il mis en place ? Rabastens a la chance unique d’avoir encore un Ehpad public accessible aux personnes à revenus modestes, disposant d’un personnel qualifié et impliqué mais lui aussi en grande difficulté. Quel projet de vieillissement
est-il proposé ? Sommes-nous certains que la
totalite des lits restera sur Rabastens quelque soit la solution trouvée pour les Terrasses? rien n’est certain. Il ne suffit pas de prendre des photos à l’occasion des anniversaires des résidants ni de proposer des ateliers de sophrologie. Cette communication n’a qu’un but : la réélection! Alors que la projection de l’ARS pour 2040 prévoit pour le Tarn 22 400 personnes âgées de plus de 75 ans en situation de dépendance avec quasiment le même nombre de places, à Rabastens il y a urgence
à ce que la mairie prenne ses responsabilités !
Tribune - Janvier 2024
Depuis 3 ans, nous élus hors majorité, nous sommes impliqués, dans notre mandat municipal et de l’Agglo, souvent au contraire de la majorité, dénonçant le fonctionnement opaque de la prise de décision cachant une organisation verticale, certains diront même autocratique. Avec l’opposition nous avons
réclamé plus d’informations notamment des documents pour tout le Conseil. Là où on nous avait promis de la démocratie participative, de la transparence et l’Humain, le Maire nous répondait : site internet, page FB, application. Alors que les élus majoritaires devaient
porter les intérêts rabastinois, nous avons eu, comme au sommet de l’Etat, des Cabinets d’Etudes présentant à prix d’or des projets tout ficelés prêts à être votés ! Est-ce cela gérer une commune ? Nous avons donc décidé de travailler avec l’opposition et réfléchir à un autre modèle de fonctionnement pour Rabastens sur des projets à l’écoute des attentes actuelles de nos concitoyens. Nous ne continuerons plus à cautionner un fonctionnement contraire à nos valeurs. Il ne suffit pas de fixer les mots : LIBERTE, ÉGALITÉ, FRATERNITE sur la façade de la Mairie.
Ces mots ont un sens et pour commencer ils se vivent au sein même de la municipalité. Le Conseil municipal n’est pas une « chambre d’enregistrement » mais un lieu d’échanges sinon c’est la Démocratie qui est bafouée.
Tribune - Octobre 2023
Considérant que la taille de la police utilisée pour les tribunes libres ne permet pas une lisibilité des contenus, considérant que nos multiples demandes d’utiliser la même police pour l’ensemble du bulletin n’ont jamais été prises en compte, considérant que ces refus nous apparaissent comme un déni de démocratie, nous avons décidé collectivement de ne rien publier.
Tribune - Juillet 2023
91% du territoire de l’Agglomération Gaillac-Graulhet est occupé par des espaces agricoles, englobant 56 communes très diverses. Rabastens n’échappe pas à la règle et même si son cœur de ville historique attire le touriste et fait battre l’économie du rabastinois au rythme de son marché et de ses commerces, notre campagne avec ses habitats dispersés mérite tout autant l’intérêt des élus. Lors de la campagne municipale nous sommes allées toutes deux, très souvent, à votre rencontre autour de Rabastens dans les fermes ou vos maisons parfois isolées et nous sommes restées fidèles à notre engagement: Nous ne vous oublions pas et nous faisons toujours remonter vos demandes. Plusieurs fois en Conseil Municipal nous avons signalé l’état désastreux de nos routes et il y a peu celle de Foncoussières au niveau du carrefour des Vilettes. Après notre question écrite en Conseil, les travaux ont été enfin effectués. Nous avons aussi participé aux réunions de préparation du ramassage des pneus usagés mis en place par l’Agglo. Certains d’entre vous, nous ont fait part de leurs difficultés financières, nous les avons orientés vers la cellule de soutien aux agriculteurs créée par le Département avec la MSA. Nous sommes à votre disposition et vous pouvez nous contacter sur notre page FB: Élues Indépendantes Rabastinoises. Bel été à vous tous !
Tribune - Avril 2023
Tout doucement, un autre Rabastens est en train de se dessiner. Ce qui a fait l’âme, de notre cité, peu à peu est gommé. Il y a 3 ans, le futur maire promettait:« Un nouveau départ », aujourd‘hui la municipalité est bien enlisée ! Où sont les projets structurants prévus ? Le plan de circulation a accouché d’une souris et a récupéré le projet du mandat précédent. La rue des Abreuvoirs qui devait débuter début 2023 : plus de nouvelles! La passerelle: aux oubliettes! La replantation des arbres sur les Lices: un jour peut être...Le stade: à la Maurole ? 1, peut être 2, si c’est possible, vu le coût ça pourrait bien être 0 ! Par contre, on communique à tour de bras, sur Facebook, et dans la presse. On organise des réunions bien encadrées où la gendarmerie est présente, tout à fait paisiblement d’ailleurs ! On parle tranquillité publique, caméras...Beaucoup de bruits mais si peu d’actes! Où est la démocratie participative promise? Il paraît qu’à Rabastens ce n’est pas possible....Par contre, le Maire, explique à tout un chacun qu’il lui faut un deuxième mandat et on peut penser qu’il réfléchit déjà à sa future campagne électorale. Rabastinois, vous devez prendre en main votre avenir, contactez-nous ou contactez les autres membres de l’opposition pour vous organiser! Le futur Rabastens est entre vos mains. (FB: Elues Indépendantes rabastinoises)
Tribune - Décembre 2022
Le maire ne semble découvrir l’existence de la précarité qu’au vu de la pénalité réclamée suite au non respect du quota de logements sociaux sur Rabastens. Pourtant, en même temps que le Black Friday, tombaient les derniers chiffres sur la précarité: +14,3 % sur le panier de course en 1 an (IRI-28/11/2022), +28 % sur le prix de l’énergie des particuliers (F. Abbé Pierre), + 20% de bénéficiaires au Resto du Cœur Occitanie (12% au niveau national), chiffres vérifiables à Rabastens! Alors que déjà 12 M de ménages sont en « précarité énergétique », beaucoup de rabastinois hésitent à remplir leur cuve, à allumer leurs radiateurs, que compte faire la mairie? Nous avons déjà évoqué ce point en Conseil Municipal mais le maire a estimé qu’il n’avait pas vocation à se substituer à l’Etat. Mais grâce à l’intervention de Mme de Guerdavid et avec l’appui de Madame Bourdet (CCAS), la subvention au Secours Catholique a été accrue. Le quotidien des plus fragiles devrait être la priorité de la mairie et malgré la bonne volonté du CCAS, une politique sociale fait défaut. Dans le même ordre d’idée le maire de Rabastens, président du Conseil d’Administration de l’EHPAD n’est guère bavard sur l’avenir de cette structure en péril. On s’interroge encore? Où devrons nous vieillir ? En attendant merci de votre soutien chaleureux et Bonnes Fêtes à tous.
Tribune - Septembre 2022
Chers rabastinoises et rabastinois, Nous espérons qu’après ces 2 années si particulières vous avez pu faire une petite pause estivale. Nous avons la chance d’être dans un territoire que l’on nous envie où il est plus facile de se ressourcer. Quant à nous, nous entamons cette rentrée dans un esprit serein et constructif. C’est avec une grande satisfaction que nous constatons que Mr le Maire a accepté les propositions de fonctionnement des commissions faites par les minorités. C’est une étape que nous saluons et nous espérons qu’elle est le signe d’une véritable coopération entre tous les élus. Beaucoup de choses sont à mettre en place qui ne demandent guère d’argent mais juste à être portées. Fidèles à nos valeurs et suite à cette main tendue nous faisons les propositions suivantes dans un 1er temps : 1/ Une initiation aux gestes de premiers secours notamment avec les défibrillateurs installés à la mairie ou à l’église. Autant savoir s’en servir ! 2/ L’eau devient de plus en plus précieuse. Installons des récupérateurs d’eau de pluie au niveau des bâtiments publics et dans un second temps organisons pour les particuliers un système identique à celui des composteurs. 3/ Plantons un arbre lors des mariages et naissances ! D’autres propositions suivrons dans les jours à venir. En attendant vous pouvez nous contacter sur notre page FB : Elues indépendantes rabastinoises et sur notre adresse mail :
eluesindependantes81800@gmail.com. Bonne rentrée à tous et surtout aux plus petits !
Tribune - Juillet 2022
« Du bruit dans Landerneau ». Suite à la démission de 2 conseillers de l’opposition, le Conseil Municipal a encore fait parler de lui. Triste bilan humain, 6 personnes en 2 ans (dont 4 femmes) qui démissionnent ou se désolidarisent de la politique menée. Après 2 ans de mandat, sous pandémie et inflation, pendant que nous, nous proposons des aides financières aux ménages en difficultés, une politique « répressive » est initiée pour cette période estivale, au nom sacro-saint de la tranquillité publique brandie non comme un droit élémentaire mais comme un étendard pour effaroucher notre jeunesse à coups d’arrêtés municipaux. Élues, issues de la liste majoritaire en juin 2020, nous sommes devenues indépendantes car nous ne nous retrouvions pas dans la politique menée loin du projet fédérateur promis, avec des orientations à l’opposé des valeurs prônées pendant la campagne, un positionnement parfois sexiste que nous rejetons, loin de la charte Anticor que nous avions signée, un recours systématique aux cabinets de conseil et à l’embauche… Dans ce contexte délétère, nous revendiquons notre indépendance vis à vis des 2 autres listes et en toute liberté. Nous assurerons notre mandat jusqu’au bout, à l’écoute des rabastinois qui nous ont élues en défendant leurs intérêts. Rejoignez-nous sur Facebook@eluesindependantesrabastinoises
Tribune - Mai 2022
Après la Covid, la guerre en Europe, nous faisons tous le bilan d’un quotidien ébranlé aux relations plus agressives même à Rabastens où il fait si bon vivre. Par le passé, des événements difficiles au sein du Conseil expliquent la tension verbale qui s’y est installée. Aujourd’hui, nous avons le devoir en tant qu’élus de mettre fin à cette spirale d’hostilité de part et d’autre qui infuse insidieusement dans la cité. S’il y a une leçon à tirer de notre actualité européenne c’est qu’il nous faut toujours, sans relâche, maintenir le dialogue quelles que soient les responsabilités passées. À notre niveau, nous œuvrons pour un échange constructif, respectueux de notre statut d’Elues Indépendantes. I. CADENE met en place à l’Agglo, une assistance juridique pour les entreprises et A. de GUERDAVID est très active en commissions. Lors du dernier Conseil Municipal, nous avons pris acte de l’engagement de la majorité à tenir compte des éventuelles difficultés financières à venir pour les rabastinois les plus démunis. Nous y serons attentives comme sur la remise en état de nos routes et le devenir de l’EHPAD. Nous avons apprécié la tenue sereine des débats. Dans ce contexte inédit, les rabastinois restent solidaires et donnent l’exemple. Pourtant, on répète toujours : « À Rabastens, c’est compliqué politiquement ! » Et si cela changeait ?
Tribune - Décembre 2021 (A. de Guerdavid)
Chers rabastinois, le 27/08 j’ai démissionné de la délégation aux associations culturelles en raison d’une mise à l’écart due à mon amitié avec l’ex-1re adjointe, évincée dans des conditions honteuses mais aussi de l’attitude misogyne de certains élus de la majorité. Ayant sollicitée beaucoup d’entre vous lors des élections, j’ai choisi de siéger comme conseillère indépendante avec I. CADENE. J’exprime ainsi ma déception pour une majorité où je ne me reconnais plus, qui ne m’a pas défendue lors d’attaques publiques, mis à part 3 élus que je remercie. J’ai voté comme on me le demandait sur des sujets que je ne soutenais pas, pour ne pas étaler la dissension que certains entretiennent au détriment des intérêts de la ville alors même que l’information des élus était absente. Au dernier Conseil Municipal, le Maire a indiqué que mon départ dans l’opposition relevait « d’un intérêt particulier » alors que je souhaitais informer les rabastinois. Est-ce personnel ? Un élu a-t-il droit d’avoir accès à des informations autrement que par les journaux soumis à des pressions et par Facebook ? En cette fin d’année, je vous adresse tous mes vœux et je demande à mes ex-colistiers de la majorité plus de transparence, plus de communication, plus d’humanité, et surtout plus de respect pour les femmes élues, en particulier celles de l’opposition.
Tribune - Décembre 2021 (I. Cadène)
J’écris au soir du Conseil Municipal du 23/11 au vu duquel on peut s’interroger sur la volonté d’écoute de la majorité. Le Maire souhaitant des propositions constructives et positives, je l’ai pris au mot. Comme il proposait une nouvelle méthode de recouvrement automatisé des impayés communaux qui me semblait en tant qu’ancienne Huissier de justice beaucoup trop systématique et impersonnelle alors que la précarité augmente, il a répondu : « efficacité du Trésor Public ». Un élu est-il là pour faciliter l’action du Trésor Public en matière de blocage de compte bancaire lors d’impayés ? Pour moi : non ! Relayant l’inquiétude sur l’EHPAD par une question écrite, il m’a été répondu que j’étais hors délai. Je justifiais du récépissé, il avouait que « c’était compliqué » et qu’il répondrait plus tard. Où est l’échange ? Est-ce rassurant pour l’avenir ? Nous avons donc besoin de vous, de votre soutien pour défendre notre cadre de vie contre un urbanisme galopant, pour soutenir nos aînés etc. Des réunions seront organisées par la mairie, venez-y ! Vous voulez que le pluralisme d’opinions vive, que Rabastens garde son âme, mobilisez-vous ! Nous serons là à vos côtés ! Je vous souhaite de belles fêtes de fin d’année, qu’elles nous permettent de renouer avec les valeurs de notre région : la tolérance, la convivialité, la solidarité et l’échange.
Tribune - Octobre 2021 (I. Cadène)
C’est pas moi, c’est l’opposition ! C’est toujours avec amusement que je découvre les communications de Mr le Maire car ayant été au cœur du « système Géraud », je suis rodée à sa dialectique électoraliste ! Depuis 14 mois, le ou la « conseil » en communication du maire de Rabastens a érigé cette maxime de « bac à sable » en mode de communication municipale si ce n’est en devise de mandat ! Et si cela changeait ? Il faut lui reconnaître qu’il sait occuper le champ médiatique. En effet, avant de partir en congés, il a multiplié depuis son confortable bureau climatisé sur les Lices, les assauts contre sa TERRIBLE - grrr!!- opposition (pas moins de 4 articles dans la Dépêche). Opposition en grande partie féminine qu’il qualifie avec élégance de « mouches du coche » ! Faut-il utiliser un fusil à répétition face à de si petits insectes ? On s’interroge ! On s’interroge d’ailleurs aussi sur le fait, que 3 femmes depuis 9 mois aient quitté, bon gré mal gré, la majorité ! Y aurait-il un problème interne ? Si la forme du discours est au point, le fond est aussi pauvre que le résultat de cette première année ! Le problème est bien là : qu’a-t-il été fait de concret, depuis janvier, à part éreinter celles qui ont été ses plus fidèles soutiens ? En attendant comme dirait Anne de Guerdavid, dernière sortie de la majorité: « Que deviennent les rabastinois ?».
Tribune - Juillet 2021 (I. Cadène)
Être conseillère municipale à Rabastens est une expérience singulière. Encore plus quand vous votez en votre âme et conscience, et non selon la volonté du Maire. À ce titre, vous n’avez guère d’information mais vous jouissez du privilège de vous voir présenter, en commissions, des projets ficelés plus ou moins bien, avec de belles présentations, en avant-première du Conseil. Difficile de travailler le sujet car les documents sont remis après, dans le meilleur des cas ! Vous découvrez la tête du nouveau policier dans le journal et l’application-mairie pour téléphone sur FB ! Quand vous demandez par écrit des informations, on ne vous répond pas ou si on vous écrit c’est par recommandé ! Si vous travaillez les dossiers avant les Conseils et que vous ayez l’outrecuidance de poser des questions, on vous dit que vous êtes « tatillonne » ou que « vous cherchez un poil sur un œuf ! ». Pire, si vous rappelez que les décisions vont à l’encontre du programme électoral (ex : vente du camping et hausse de la taxe foncière) et qu’en conséquent, vous voterez contre ! En même temps, on se plaint de-ci de-là de votre attitude qui bloque les projets. Je suis encore à me demander comment, car les chiffres sont là : 29 conseillers dont 21 de la majorité. Tout compte fait, il est plus facile de rester dans la majorité car en plus vous êtes indemnisé !
Tribune - Mars 2021 (I. Cadène)
Chers Rabastinoises et Rabastinois. En m'engageant il y a plus de deux ans auprès d'un ami lors des municipales, j'ai naïvement cru que le travail, la fidélité et l'engagement suffiraient. Les deux derniers mois m'ont prouvé que je m'étais trompée. Mais comme vous l'avez vécu vous-même, les épreuves nous permettent d'avancer. C’est donc une nouvelle page qui s'ouvre à moi. Mais ma volonté de vous servir n'en est pas moindre. Ayant œuvré à l'élaboration du programme de la majorité et à son élection, je reste attentive à son exécution, en toute liberté et indépendance, sans être inféodée à une obligation de vote. Cette liberté retrouvée, je la mets à votre service au sein du conseil municipal mais aussi à la communauté d'agglomération avec toute l'énergie que j'ai déployée dans mes anciennes fonctions de 1ère adjointe, toujours dans un esprit constructif et dans votre intérêt. D'importantes décisions vont être prises d’ici juin et le conseil municipal ne doit pas être la chambre d'enregistrement, les commissions de simples réunions de présentation. De vrais débats sont à mener et en tant qu'élue communautaire je veillerai à y être associée ! Il y aura un monde d'après et c'est maintenant tous ensemble, majorité et opposition, en concertation qu'il nous faut le préparer!
Jean-Guy Leclair,
conseiller municipal indépendant
Tribune - Octobre 2024
Le texte de la tribune n’a pas été transmis.
Tribune - Juillet 2024
Le texte de la tribune n’a pas été transmis.
Tribune - Avril 2024
(Monsieur Jean-Guy Leclair n’a pas souhaité transmettre
de tribune libre)
Tribune - Janvier 2024
Une nouvelle année débute et nous espérons tous qu’elle nous apportera davantage de bonnes choses que les années écoulées
La vie de la cité s’écoule pendant ce temps avec ses petits différends somme toute bien dérisoires. Mais notre mouvement d’humeur a tout de même - semble t il - fait prendre conscience au Maire qu’il fallait un peu plus
d’ouverture vers les oppositions. Ainsi nous espérons que les prochaines commissions seront un lieu d’ échanges constructifs dans l’intérêt des Rabastinoises et des Rabastinois. Je suis prêt à apporter ma contribution aux projets importants qui vont conditionner la vie future des habitants ; je pense notamment au plan de circulation qui peine à avancer. Le
cabinet EGIS a rendu sont travail depuis bientôt deux ans, et peut être serait il intéressant que les élus de tous bords soient conviés à une réflexion, pourquoi pas en y associant des représentants des riverains des rues concernées ( notamment la place de Cuhn dans l’immédiat.) Il serait également judicieux de prendre en compte les demandes de certains secteurs « ruraux » impactés par la circulation routière ; je pense notamment à la route de Condel mais aussi aux hameaux de Vertus et de Saint Géry. Et donc j’attends que
le maire, comme il s’y est engagé, me convie à la réflexion sur les nouveaux axes de circulation de la commune.
Tribune - Octobre 2023
Considérant que la taille de la police utilisée pour les tribunes libres ne permet pas une lisibilité des contenus, considérant que nos multiples demandes d’utiliser la même police pour l’ensemble du bulletin n’ont jamais été prises en compte, considérant que ces refus nous apparaissent comme un déni de démocratie, nous avons décidé collectivement de ne rien publier.
Tribune - Juillet 2023
Et si on parlait démocratie participative ? Le maire regrette que trop peu de monde vient aux réunions publiques qu’il organise ; sans doute, mais pourquoi ? Les gens se déplacent lorsqu’il y a un sujet qui les intéresse et à la condition d’être écoutés - . Lorsque je propose d’associer les riverains des rues saturées à la réflexion sur le projet de circulation - lors d’une commission menée au pas de charge - on me répond que cela ferait trop de monde ! Pas assez d’un côté, trop de l’autre!! La démocratie participative ne demande qu’à exister ; il faut mettre des outils en place, y associer les acteurs de la cité : élus, membre des associations, actifs, jeunes et anciens… Cette démarche ne remet pas en cause la légitimité de l’équipe en place, au contraire, elle est force de proposition et de par la pluralité des intervenants apporte des idées, des éclairages nouveaux qui mériteraient d’être étudiés, le maire restant seul décideur in fine bien entendu. Enfin en cette période difficile pour les ménages, et pleine d’incertitude quant à l’état de la planète que nous allons laisser à nos enfants, je souhaiterai que nous puissions nous retrouver autour de projets mobilisateurs à l’échelle de la commune tels que le développement durable et le vivre en semble.
Tribune - Avril 2023
Il faut bien évidemment davantage de logements sociaux à Rabastens, mais que veut-on ? Des logements et un cadre de vie agréables pour des personnes parfois en difficultés afin de rendre leur vie meilleure, ou bien faire du « social « coûte que coûte parce qu’on y est obligés ? Doit-on accepter qu’un grand promoteur privé (Nexity) construise des maisons dépourvues de garage pour plus de la moitié, qu’il n’y ait pas suffisamment de parkings, ni d’espace vert ou d’aire de jeux? Un élu ne doit pas accepter ça ; n’ayant pas été écouté j’ai préféré quitter l’équipe municipale. Concernant les commissions, à défaut d’être un véritable lieu de travail elles sont au mieux de simples réunions d’information, sauf quand un adjoint nous dit avoir oublié la liste des propositions pour nommer une rue et qu’on apprend plus tard qu’il a choisi le nom d’une peintre académique inconnue de la plupart des rabastinois, sans l’avis de la commission !! Et pourquoi remplacer des arbres malades par des bacs à fleurs, certes très jolis. Enfin on attend depuis 2 ans la création d’un groupe de travail sur le plan de circulation associant élus mais aussi habitants à travers une véritable démocratie participative (malgré les promesses du maire).